Sujet: This one moment when you know you're not a sad story. Jeu 30 Jan - 12:42
Shane Nathan Maddigans
Je m'appelle Shane N. Maddigans et j'ai 19 ans, puisqu'en effet je suis né(e) le 12 janvier 1995 à Winnipeg, Canada. Ma situation sociale est actuellement moyenne et j'habite à Snowflake Lane depuis toujours; j'y suis étudiant en cinéma et j'habite seul. Niveau amour, je suis actuellement en couple et d'ailleurs, je suis hétérosexuel. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un scénario et c'est Logan Lerman qui me prête son joli minois.
Sujet: Re: This one moment when you know you're not a sad story. Jeu 30 Jan - 12:42
tell me your secrets
Tu es partie. Tu es partie et maintenant, je souffre. Ce n'est pas de ta faute non, c'est la mienne, et pourtant je t'en ai voulu. Tu as fuis, tu ne t'es pas battu. Tu sais, je l'aurais fais pour toi. J'aurais pu quitter ma famille pour toi. Elle n'était pas d'accord pour nous mais je m'en fichais. On a quand même eu ce plan idiot : faire semblant de sortir avec quelqu'un d'autre. Ça nous a brisé. Tu m'as quitté, tu pensais en finir avec cette souffrance mais je parie qu'elle n'a fait qu'empirer, car moi, c'est le cas. T'a tout fichu en l'air en partant. Je t'aimais merde. Je me voyais rester à tes côtés, peut être avais-je eu tort. Peut être avais-tu raison : mieux vaut abandonner. Cependant, je ne peux pas m'y résigner. Je suis convaincu qu'on a encore une chance. Je n'abandonnerais pas comme ça, jamais. Après tout « l'amour n'a pas à être parfait, il n'a qu'à être vrai ». Je sais qu'on aura des personnes sur le dos, des personnes qui diront que notre relation est malsaine, impossible mais je m'en fiche. Maintenant, il n'y a que toi qui compte et un jour, je suis sûr, tu me pardonneras. Pour mieux comprendre de quoi, de qui je parle, voilà mon histoire :
Ma vie a toujours été des plus banales. Né à Snowflake Lane le 12 janvier 1995, je suis le petit dernier de la famille. Je n'ai jamais été vraiment proche de mes deux frères et encore moins de ma sœur. Oui, on rigolait ensemble mais on était pas du style à se faire des câlins, à se dire « je t'aime » et à se consoler les uns, les autres. Non, on était plutôt complice, à faire des bêtises ensemble et à se trahir. Il y avait toujours un de nous qui se prenait tout, un de nous qui se faisait engueuler, un de nous qu'on accusait toujours et là plupart du temps, c'était moi. Comme j'étais le petit dernier, je passais par une sorte de « bizutage » pour me faire accepter. Mais je ne le prenais pas mal, au fond, je m'en fichais. Pourquoi je ne révélais pas toute la vérité à mes parents ? Car, à l'époque, je pensais que c'était comme ça dans toutes les familles et, aussi parce que j'avais peur d'être rejeté par Dany, Craig & Jude. Je ne supportais pas la solitude quand j'étais gosse et encore moins la souffrance. Maintenant, je me suis imposé même si je reste tout de même leur « petit » frère, celui qui doit tout apprendre, celui qu'on aime bien mais qu'on taquine souvent. Un jour mes parents ont adopté cette petite fille, Cléo. Elle avait onze ans quand elle est arrivée ici. Cléo semblait différente des filles de ma classe, plus torturé, plus.. solitaire. Après ce n'était peut être qu'une impression, mais je me souviendrais toujours de ce jour comme de celui où tout à changé. Celui où j'ai enfin eu une véritable amie, celui où j'ai compris ce que mon père ressentait pour ma mère. J'ai su percer sa carapace et voir la véritable Cléo et ça ne m'a pas révulsé, au contraire, elle me plaisait de plus en plus. Plus on se rapprochait et plus on avait droit aux commentaires -tellement intelligent- de mes frères. Ils n'arrêtaient pas de nous charrier, ils adoraient ça, de vrais gamins. J'allais souvent la voir dans son petit coin secret, qui, maintenant, était devenu le notre. Pourquoi je mentionne sa cachette ? Vous comprendrez plus tard. J'entrais au cycle supérieur et commençait à profiter de ma vie de lycéen. Les petites amies s'enchaînaient, je n'avais de vrais sentiments pour aucun d'entre elles. Je sortais avec des filles différentes juste pour faire enrager Cléo. Je prenais un malin plaisir à la torturer comme ça, elle m'aimait, c'était sûr. Vous vous demandez sûrement pourquoi on était pas ensemble si on s'aimait. La réponse est simple : ma jeunesse, je voulais en profiter un maximum. J'avais l'impression de m'éloigner de Cléo et pourtant je continuais, je suis même allé jusqu'à le faire avec une de ses camarades de classe. Culpabilité ? Aucune. Voir que Cléo tenait à moi me faisait sourire. La rage à commencé à se faire ressentir quand elle a eu son premier petit ami -je ne me souviens plus de son nom- et qu'elle à commencé à changer. Là, le doute est apparu. Elle changeait et pas que son style et ne tenait plus compte de mes remarques. Je ne savais plus si elle tentait de me faire croire ça ou si c'était vrai. Ne voulant pas qu'elle s'éloigne plus de moi, ne voulant pas perdre ce sentiment, j'ai agis. Le jour de la Saint Valentin, on est allés dans sa cachette -enfin je l'y ai emmené- et là, j'ai cédé et dis les fameux mots, précisant que je ne les répéterais pas : « je t'aime ». Nos lèvres se sont touchés et honnêtement, de tout les baisers que j'ai pu avoir, celui là était le meilleur. Mais ça, je ne lui dirais jamais, autant garder un peu de mystère. Je ne voulais pas donner l'impression d'être soumis, déjà que je pensais qu'elle céderait la première. Malheureusement, « nos » parents n'étaient pas d'accord avec notre relation, ayant l'impression d'avoir un inceste. Mes frères n'ont pas aidés. Ma sœur, elle, s'en fichait ou peut être qu'elle se régalait.. Je ne lui prêtais pas trop attention. Enfin bref, le point est : nous avons du faire semblant. Semblant de ne plus s'aimer, d'avoir oubliés ces sentiments, d'avoir tourné la page. Pour cela, on sortait tout les deux avec quelqu'un. Si tu savais à ces moments là combien j'en voulais à mes parents, à ma famille. Ce n'était pas la peste blonde que je voulais embrasser, avec qui je voulais passer quasiment tout mon temps, c'était toi. Mais nous ne pouvions pas. Tu n'a pas pu accepter cette relation là et en a fini. J'ai tout de même essayé de te convaincre mais rien n'y a fait, découragé, j'ai accepté ta décision. La fille qui me servait de « petite amie » a fini de m'achever en faisant croire à tout le monde qu'elle portait mon enfant. J'avais beau répéter que jamais je n'avais couché avec elle, personne ne me croyait. Même pas ma famille. Mes parents m'ont engueulé puis m'ont dis qu'ils me soutiendraient.A ce moment très précis, je m'étais promis que je trouverais le vrai père et me débarrasserai de cette fille. En attendant, j'ai pris mon propre appartement, prétextant un besoin d'indépendance. L'argent n'est pas un souci, mes parents m'en envoyant tout les mois mais, bientôt, je devrais chercher un travail pour les aider. Cette fille m'avait pourrie la vie, si elle pensait s'en sortir comme ça. Enfin bref, autant ne pas s'attarder sur les mauvaises nouvelles. En voilà une bonne : je pensais avoir tourné la page sur Cléo, ne plus jamais la revoir jusqu'à découvrir -à l'aide des réseaux sociaux- qu'elle était encore là. Dans le même quartier que moi. Mes sentiments à son égard se sont ravivés. Cette fois, je n'abandonnerais pas, tu me reviendras peu importe ce que je dois faire, Cléo.
Et sinon, moi c'est DisneyDream2, j'ai en réalité 18 ans et j'ai connu le forum par Bazzart . Ceci est mon premier compte. Mon petit mot de la fin? Hakuna Matata !.
Dernière édition par Shane N. Maddigans le Jeu 30 Jan - 17:25, édité 6 fois
Sujet: Re: This one moment when you know you're not a sad story. Jeu 30 Jan - 12:58
le scenario de cléoooooooooooooooooooooooooooo excellent choix, par contre si tu fais souffrir ma bff, garre à tes fesses voila, le message est passé je pense Welcome Si tu as la moindre question sur le forum ou bien autre, le staff est là
Sujet: Re: This one moment when you know you're not a sad story. Jeu 30 Jan - 17:55
nous faudra un lien ça m'a perturbé de voir des "Cléo" de partout, bon ok je me tais (je m'appelle Cléo irl ;)
félicitations, ta fiche est validée!
Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même en DEMANDANT UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre événement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!
voila, le message est passé je pense 
Josh | Quand on cherche on trouve
Il est trop chou ce mec !
(je m'appelle Cléo irl ;) 
