Quand l'amour fait BOOM BOOM à ta porte d'entrée et que tu fais tout pour l'ignorer.

Heather Melody Bowen

Je m'appelle Heather Melody Bowen et j'ai 30 ans, puisqu'en effet je suis né(e) le 25 mars 1983 à Winnipeg, Manitoba, Canada. Ma situation sociale est actuellement normale voir aisée et j'habite à Snowflake Lane depuis mai 2013; j'y suis Bibliothécaire au lycée Kelvin High School et j'habite avec mon ex petit ami. Niveau amour, je suis actuellement Célibataire, mais je vois quelqu'un que je n'aime pas vraiment et d'ailleurs, je suis totalement hétérosexuelle. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un scénario et c'est Zooey Deschanel qui me prête son joli minois.

gentille ♤ altruiste ♤ réservée ♤ douce ♤ adorable ♤ généreuse ♤ empathique ♤ souriante ♤ ordonnée ♤ intelligente ♤ naïve ♤ passionnée ♤ jalouse ♤ digne de confiance ♤ déterminée ♤ protectrice ♤ maternelle ♤ maniaque ♤ timide ♤ calme ♤ renfermée ♤ blessée

THEY ARE IN LOVE	THEY LIVE TOGETHER
THEY ARE A FAMILY	THEY LIVE ON THEIR OWN

tell me your secrets

« Heather ! A table ! » Le cri de ma mère me sortit de ma stupeur. Je me rendis alors compte que je tirais sur ma mèche de cheveux depuis cinq bonnes minutes, et que l’ongle de mon pouce avait diminué de plusieurs millimètres. Ces moments de vague, durant lesquels mon cœur tambourinait contre ma poitrine m’arrivaient de plus en plus fréquemment ces derniers temps. « J’arrive ! » Après un détour par la salle de bains pour me laver les mains, je me blottis rapidement contre ma mère qui de ses grands yeux bleus me regardait inquiète. Mon petit frère arriva et me tapa la main, ce qui m’obligea à retourner par la case évier. Décidément quelque chose clochait chez moi. Du haut de mes douze ans, j’étais assez lucide pour m’en rendre compte. Dans ma chambre d’adolescente, mon lit parfaitement fait, trônait fièrement contre un mur blanc immaculé, sur lequel aucun poster ne venait afficher mes idoles. Sur mon bureau, les stylos étaient parfaitement rangés par ordre de grandeur et par couleurs. Système de rangement qui se voulait le même dans mon armoire coulissante. Les livres sur mon étagère, rangés par ordre alphabétique étaient la dernière preuve que je commençais à ne plus tourner rond. Ma grande sœur me le répétait sans cesse, « T’es toquée ma vieille. » Et moi je lui claquais la porte à la figure. Les moqueries commencèrent à fuser à l’école, sur mes manies bizarres et mon sens du rangement parfois trop poussé. Mais j’avais d’excellentes notes et mes parents étaient fiers de moi. Tout allait bien. Cependant, ces manies se transformèrent en obsessions, me poussant à ranger toujours plus, à laver toujours plus.

Mes grands yeux bleus observaient le monde alentour, New York était vraiment trop sale et bruyant et la vie semblait accélérée. Et pourtant j’allais devoir passer deux années dans cette ville aux milles lumières pour finir mes études. Enfermée chez moi ou à l’auditorium, je ne pus rester plus de deux ans dans cette ville. Je revins sans aucun regret dans ma ville du Canada.
Mes parents étaient plutôt contents de me voir rentrer. Trop loin d’eux, je leur faisais peur. Trop jeune, trop naïve, trop gentille, trop fragile. Trop… Ils pensaient qu’en étant prêt d’eux je serai l’abri du monde et de ses dangers. Que je devais trouver un métier tranquille dans un endroit tranquille. Je cherchais alors un métier simple, qui ne me forcerait pas à devoir voyager ou à faire des choses dangereuses. Secrétaire me paraissait bien choisi. Ranger des dossiers, taper des textes à la machine, répondre au téléphone. Je passais de secrétaire à assistante de direction. En cinq ans, ma vie s’enrichissait, j’obtenais des tâches plus lourdes, des responsabilités et un patron obsédé en prime. Il tenta à deux reprises de poser ses mains sur moi. C’est pourquoi à vingt-quatre ans, je décidais de changer de poste. La bibliothécaire de mon ancien lycée venait de passer à la retraite et ils cherchaient quelqu’un pour la remplacer. « Je suis la personne qu’il vous faut ! » Et je me retrouvais un jour à poser une petite plaque avec mon nom sur un bureau en bois. Mes parents étaient fiers, j’avais un poste stable, noble et bien rémunéré, le tout dans la même ville qu’eux. Mon avenir allait être beau et stable. S’ils avaient su dans quoi je m’embarquais.

En Octobre 2008 donc, je posais ma pancarte, heureuse d’intégrer ce job dans un environnement qui me correspondait tant. La bibliothèque était calme, l’ancienne patronne du lieu, m’avait laissée un message m’indiquant les taches qu’elle n’avait pu finir. J’aurai du en toute logique, aller chercher le carton de livres qui attendait dans la réserve, et peut-être ne l’aurais-je jamais rencontré. Peut-être notre rencontre n’aurait pas été autant empreinte de douceur et de sourires et j’aurai pu continuer ma vie comme je me l’imaginais. Mais le destin joue bien des tours. Cette pancarte ne voulait pas rester droite et je m’acharnais à la redresser. Je n’aurais rien pu faire d’autre tant qu’elle n’aurait pas été en parfaite place. Alors que j’avais réussi à la positionner en un angle parfaitement symétrique à mon bureau, je sentis un regard posé sur moi. A travers de la vitre, un jeune homme me regardait puis s’excusa d’un sourire. Si seulement il n’avait pas eu le sourire le plus charmant que je n’ai jamais pu voir. Si seulement, il n’était pas rentré pour venir me parler de ses livres. Si seulement j’avais su que je devais partir en courant, ne pas lui répondre… Mais on ne nous prévient pas de toutes ces choses là. Il était charmant, courtois, parlait français et avait un sourire qui me coupait le souffle chaque fois qu’il me le présentait. J’aurai pu lui donner le bon Dieu sans confession tant il était craquant.

Cependant, nous fûmes prudents. J’essayais de me convaincre que tomber amoureuse d’un collègue n’était pas le choix le plus judicieux que je faisais. Qu’il ne me considérait simplement comme une amie et que ses quelques conquêtes le prouvaient. Je tentais de faire pareil, de sortir avec quelques hommes. Mais ils étaient tous ennuyant et dépourvus de conversation. Tous finissaient par ne pas supporter mes quelques petits défauts. Avec Milan, nous nous construisions une barrière, un refuge amical, qui nous suffisait. L’année passa rapidement, au rythme des déjeuners passés ensemble, des heures passées à la bibliothèque avec ses élèves et des histoires racontées au détour d’un couloir. Je l’aimais vraiment beaucoup. Un jour, alors que je rangeais des livres sur une étagère complètement désordonnée par les jeunes lecteurs, j’entendis une voix familière. Il se trouvait de l’autre côté du meuble et il fredonnait un air que je ne connaissais pas. Sa voix était mélodieuse et il chantait si bien que l’envie de danser me prenait presque. Déplaçant un livre, je confirmais mes doutes, Milan était bien l’interprète de ces quelques notes. Passé cet événement, je cherchais à en savoir plus sur lui, j’appréciais sa compagnie, la recherchais même et désirais plus que tout faire parti de sa vie. Raisons pour laquelle je le poussais à entreprendre des projets, à faire ce qu’il aimait. Entendez : s’occuper de la chorale qui n’avait plus de coach. J’adorais la musique et parfois j’aimais pousser la chansonnette, ainsi j’aurais été vraiment triste que notre école abandonne ce groupe. Sans trop devoir insister, il prit la tête de la chorale. Une année passa au creux de notre bulle de sourires timides et de nos rires nerveux.

Jusqu’au jour où il fit le premier pas. Le dernier jour d’école venait d’arriver et mes parents avaient prévus que nous allions passer un mois en France. J’étais plutôt ravie, mais assez déçue qu’au final rien ne soit conclu avec le professeur. Mais il m’offrit silencieusement ce que je désirais finalement énormément. L’été passa, loin de mes parents, qui bien que déçus, comprirent ma décision. Je n’avais plus cinq ans et je faisais tout ce qu’il ne fallait pas.

Tout d’abord, notre couple semblait parfait. Nous étions amoureux, heureux et naïfs. Il supportait mes petits défauts et mes moments de doutes. Nous étions sur un nuage blanc qui devint petit à petit gris. J’emménageais rapidement dans son appartement, puis le mot « enfant » se faisant de plus en plus présent, nous cherchions une maison qui aurait pu accueillir la famille que nous désirions tant avoir. Je cherchais à faire comme si tout était normal, que nos vêtements n’étaient pas rangés par couleurs dans notre penderie, que tous les documents avaient leur dossier attribué et que pour rien au monde une assiette sale n’aurait traînée dans l’évier. Le médecin appelait cela des TOC, des Troubles Obsessionnels Compulsifs. Je ne le croyais pas, j’étais simplement un peu maniaque, voilà tout. Mais je prenais quand même mes pilules, pour Milan, pour notre futur. Futur qui devenait chaque jour plus clair grâce à lui. Moi qui m’était toujours cru destinée à rester près de chez mes parents, avec un métier stable, sans mari et forcée à choyer mes neveux qui me rendraient visite de temps à autre. Destinée à devenir la tata gâteau de la famille, Milan m’aidait à détourner mon sort. Je lui en étais plus que reconnaissante.

Mais le médecin en décida autrement. Me voyant aller mieux, mes chaussettes bleues côtoyant les noires, il diminua jusqu’à arrêter ma prise de médicaments. Mais je n’étais pas prête. Du jour au lendemain, j’étais en crise perpétuelle. Le moindre bruit plus haut que les autres m’hérissait le poil, le moindre contact de mon compagnon me donnait envie de vomir. Je n’étais plus moi-même, je perdais l’appétit, quelques kilos, le sourire et l’envie de tout. Mes gestes devenaient automatiques et les jours se répétaient inlassablement. Je devenais une automate. Je ne voyais quasiment plus Milan qui se tenait pourtant si près de moi et qui lors de mes moments de lucidité me paraissait si inquiet. J’avais les nerfs en pelote et ses attentions trop présentes me rendaient folle. J’avais besoin de lui, mais je ne le supportais plus. Je l’aimais, mais ne pouvait plus le voir. J’étais à l’apogée de ma folie. Tout s’embrouillait, tout se cassait, tombait en miette. Je ne pouvais plus dormir près de lui, mes cauchemars devenaient oppressants, mon monde s’effondrait. Je ne le laissais plus me toucher, les seuls contacts que nous avions étaient une simple bise que je déposais au coin de ses lèvres pourtant si belles. Je n’étais pas là pour lui alors que de son côté il aurait tout fait pour moi. Tout… Jusqu’à me mettre dehors pour mon bien. Je rentre chez moi, chez nous et trouve des cartons pleins, un camion de déménagement, lui, droit comme un i, les yeux remplis de larmes, souffrant le martyr de devoir me mettre à la porte pour notre bien à tous les deux. Je le détestais. Il détruisait tout ce que nous avions construit, il cassait tout mes projets d’avenir, tout ce à quoi j’avais cru pouvoir aspirer. Il m’éloignait de lui. M’envoyant vivre chez Jamie notre meilleure amie. Je ne l’aurais pas cru capable de ça. Jamie pris soin de moi. Me permettant tout d’abord de ne rien faire, de me reposer, de prendre soin de moi.

Je passais mes soirées effondrée, dans son canapé, à me morfondre. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même, loin de Milan, loin de ma vie. Heureusement Jamie était là. Elle me laissait ranger sa grande villa, me permettait de me détendre. Je voyais mes parents, mais ils préféraient que je reste avec mon amie. Je m’occupais de moi, des autres, d’associations. Mais surtout, j’évitais celui que j’aimais toujours de tout mon être. Je me devais de m’éloigner de lui. Sans médicaments et avec le soutien de Jamie, je commençais à voir la sortie de mon trou noir. Une année passa à nouveau, loin de tout, dans un environnement sain et calme. Pendant près de six mois je vivais près de Jamie. Puis elle m’aida à m’installer dans un petit chez moi, ne cessant de me répéter que Milan et moi étions fait l’un pour l’autre, chose à laquelle je répondais que je ne croyais pas en l’âme sœur et dans toutes ces foutaises. Pourtant je savais que quelque part elle avait raison. Au fond de moi, je craignais plus que tout qu’il ne trouve une fille plus drôle, plus gentille, moins toquée que moi et qu’il ne décide de faire sa vie avec elle. En un an tout était possible après tout. Puis Jamie tomba malade. Un cancer. La petite bête la rongea si rapidement que je dus me faire à son départ plus rapidement que prévu. Je lui tenais encore la main le soir avant son départ et elle me demanda d’être heureuse avant tout.

Je compris rapidement où elle voulait en venir lorsque le notaire me présenta le testament. La villa me revenait, mais elle revenait également à… Milan. Elle voulait jouer l’entremetteuse, elle voulait absolument nous voir ensemble. Je décidais alors de ne pas me laisser faire. Le notaire, Mike Chapman n’avait rien d’ingrat et il semblait plutôt intéressé par ma personne. Timidement, je me laissais embarquée, bien que totalement insensible à son sourire ou à quoique ce soit d’autre chez lui. Le jour des retrouvailles fut compliqué. Milan était toujours aussi beau, toujours aussi attirant, son visage semblait plus inquiet qu’auparavant et je savais que c’était de ma faute. Je ne pouvais m’empêcher de l’aimer encore, malgré ma tête qui ne cessait de rappeler ce qu’il avait fait. Je lui faisais rapidement comprendre que je ne vendrais pas la maison à un homme avide d’argent qui la détruirait aussitôt. Il comprit et décida de m’aider dans ma quête. Je compris également qu’il était jaloux du petit manège que Mike jouait avec moi. Je me sentais coupable. Lorsque je voyais ses traits tirés par la tristesse, je n’avais qu’une envie, me blottir contre lui, chercher à réparer la fissure qui nous séparait dorénavant. Je restais alors froide, ne voulant pas tenter le diable. Je devais chercher à être heureuse maintenant et loin de lui était la meilleure solution. Mais malgré mes tentatives pour nous garder éloignés l’un de l’autre, Milan cherchait à comprendre. Il m’aimait toujours, me l’avouait même. Je lui en voulais toujours, de m’avoir écarté de sa vie, de ne pas avoir cru en moi. Bien qu’au fond de ma poitrine, ma petite voix me murmurait qu’il avait raison et que tout cela était pour mon bien. Nous devions alors faire avec.

Désormais réunis dans cette immense maison, à devoir s’accorder sur la vente et les acheteurs potentiels. J’ai repris mon travail à l’école. Je le croise tous les jours, j’essaye de l’éviter. Mais j’ai remarqué qu’une prof lui tournait au détour. Et malgré tout ce que j’essaye de faire croire, tout ce que je dis, cette idée même qu’il puisse en aimer une autre entame une nouvelle plaie sur mon cœur déjà bien amoché… « L’amour à ses raisons, que la raison ignore. » m’avait-il dit un jour en un français sans accent, et ce n’est que maintenant que ces quelques mots prennent tout leur sens…

Et sinon, moi c'est Mahana, j'ai en réalité 18 ans et j'ai connu le forum par un top-site. Ceci est mon premier compte. Mon petit mot de la fin? Franchement, je suis trop contente d'être tombée sur ce forum et d'avoir cliqué sur ce joli lien crée par Milan ! D'autant plus que j'ai failli partir sans regarder ce perso, j'aurai loupé quelque chose ! Le forum est frais, beau, j'adore ! .

Zoey, tu vas faire un heureux (a)
Welcome
Bonne chance pour ta fiche, si tu as le moindre problème, le staff est là

Bienvenue parmi nous!! :DEt bon courage pour ta fiche !

tu fais un heureux vraiment ! et tu verras , je suis sur que tu ne le regrettera pas I love you

en tout cas si tu as besoin de quoi que se soit , n'hésite pas surtout I love you

Merci vous trois pour l'accueil !!
Faut dire que ce personnage est tellement chouette, que je ne pouvais que céder à la tentation awn

J'ai fini ma fiche et j'espère que c'est bon ! ballon

C'est bien simple, je suis conquis OMG

J'ai adoré ta fiche, tu écris vraiment bien, c'est très fluide et tout et tout, et surtout je pense que tu feras une parfaite Heather! gosh

Je te valide avec un IMMENSE plaisir, et j'ai vraiment hâte de te croiser en RP hug

Heather M. Bowen a écrit:: D'autant plus que j'ai failli partir sans regarder ce perso

C'est moi qui aurais loupé quelque chose awn

Je suis hyper happy excited

Quand l'amour fait BOOM BOOM à ta porte d'entrée et que tu fais tout pour l'ignorer. 1936710247

félicitations, ta fiche est validée!

Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même DEMANDER UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre évènement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. En revanche, si tu es curieux, n'hésite pas à lire LA RUBRIQUE DE TARA, notre chère journaliste locale se fera un plaisir te tenir au courant. Une dernière chose, viens poster ton FORMSPRING et poser des questions à tout va pour encore plus de fun! Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!

Bienvenue et très bon choix de scénario awn

Merci Mill ! ça fait tout plaisir tout plein ! hahaha

J'ai adoré écrire ma présentation donc c'est super cool ! trop cool

Merci Tara ! breathless

Bienvenue en retard mais je ne pouvais pas ne pas passer ! Tu as pris THE scénario. Le scéna de Mimi awn

Tu écris très bien ! Bon courage pour ton Bac car si je me fie à ton âge tu es toi aussi en plein dedans ! Grosse merde breathless

Merci beaucoup Raphaël ! On est d'accord, c'est LE scénario ! coeur

Merci pour le bac au passage parce qu'en fait c'est l'année, mais en fait j'habite à Tahiti et nous on a déjà passé les épreuves, on attend les résultats maintenant ! waza

Haaaaaaaa ~~Jess~~ awn

Le scénario, ta manière d'écrire et le personnage est tout simplement génial !
Bienvenue parmi nous en tout cas...

Merci ! C'est super sympa ! breathless

» (f) Willa Holland → tu étais ma meilleure amie, ne fais pas tout pour devenir ma meilleure ennemie...
» Je ferrais tout pour un crumble ! Riley&Andrew
» ALBANE GINNY (+) la plupart des gens disent qu'on a besoin d'amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d'oxygène.
» Tout nouveau, tout beau.
» Bryan N. Stevens ♥ L'amour fait naître la jalousie, mais la jalousie fait mourir l'amour.

Quand l'amour fait BOOM BOOM à ta porte d'entrée et que tu fais tout pour l'ignorer.

Quand l'amour fait BOOM BOOM à ta porte d'entrée et que tu fais tout pour l'ignorer.

Sujets similaires

Sujets similaires