Le jour J était arrivé. Nous l'attendions si impatiemment Dylan et moi que j'avais du mal à croire qu'il était enfin arrivé. Mais c'était pourtant bien le cas. Mes vacances et celles de Dylan étaient posées, nous n'avions plus qu'à nous laisser porter par la joie qui nous submergeait. Mais voilà le hic : j'étais joyeuse mais bien trop stressée pour me laisser porter par quoi que ce soit d'autre que le stress. Tout était pourtant bien en règle. Nous allions pouvoir serrer dans nos bras tous nos proches dans 3312 kilomètres, ce qui représentait pas mal de temps pour les jumeaux et Heaven. Mais nous étions bien déterminés à profiter de ce voyage quoi qu'il nous en coûte. J'avais hâte de pouvoir serrer ma mère dans mes bras, ainsi que ma soeur Kayla et June, bien évidemment. Stressée comme jamais, je portais notre dernière valise jusqu'au coffre de la voiture qui nous mènerait jusqu'à l'aéroport. En un souffle, j'ai crié à Dylan de se dépêcher. "Dylan dépêche-toi ou on va être en retard !" Nous avions encore le temps de rejoindre l'aéroport mais j'avais tellement peur de rater notre avion qu'il fallait tout faire à vitesse grand v. "Tu n'as pas oublié le doudou des jumeaux j'espère ?" Lui demandais-je une fois rentrée dans la maison. "Heaven non !" Dis-je à notre fille en voyant son chemisier tâché. "Dylan, tu l'as laissée manger du chocolat ? Je t'avais de ne surtout rien lui donner à manger !" Notre fille avait beau avoir grandi et on pourrait penser qu'à huit ans, elle serait capable de manger proprement, mais ce n'était pas toujours le cas. Mon pauvre mari en prenait plein la figure alors qu'il n'y était pour rien. "Va te changer tout de suite et interdiction de manger quoi que ce soit après ça !" Ajoutais-je à l'attention de notre fille.

Voila aujourd'hui était le grand jour ou on devais partir retrouver nos racine avec Tara , j'étais content de retourner la bas et de retrouver tout nos amis , mais aussi ma famille cela fessais longtemps qu'on ne c'était pas vue un ans pour être exact ils étaient venu a noël pour les petits . J'étais entrain d'arranger les dernière chose avant de partir avant d'entendre Tara qui était totalement en stresse depuis quelque jour et aujourd'hui était pire que d'habitude ! Oui Tara je termine un truc! je roula des yeux et regarde les jumeaux qui était la amusais aujourd'hui votre maman va être impossible jusqu’à temps qu'on arrive , j'espère que vous serez sage vous je les pris ensuite dans mes bras et entendis de nouveau Tara râler est je descendis avec les jumeaux et leurs doudou comme elle venait de me le rappeler je peux pas tout faire Tara j'étais avec les jumeaux dis je lorsqu'elle râler pour Heaven qui c'était sali je posa alors les petits dans leurs transat quelque instant et partie voir Tara je lui attrapa la main et la fit ce retourner vers moi Zen Tara on a le temps l'avions décolle dans une heure et demi on est prêt zen dis je posant ma main sur sa joue et lui caressa la joue

Dylan ne semblait pas me prendre au sérieux. C'est tout du moins l'impression que j'avais en l'entendant me dire qu'il terminait un truc avant de venir me rejoindre. Je savais que je poussais les choses à leur sommet mais je n'arrivais pas à m'arrêter. J'aurais bien voulu lui crier de se dépêcher et de ne pas le faire l'année prochaine mais je me suis retenue. Je pouvais être ingérable quand je m'y mettais, j'en avais conscience. Lorsque Dylan arriva enfin au salon, il m'assura que ce n'était pas lui qui avait donné à manger à notre fille. Heaven s'était donc approvisionnée elle-même en chocolat. Elle était bien comme sa mère. Mais je n'avais pas le temps d'en rire. J'aurais déjà voulu me retrouver dans l'avion, en compagnie de ma petite famille, en direction de L.A. « Mouais. » Répliquais-je à mon mari en grimaçant. Tandis que Heaven allait se changer, je jetais un coup d’œil rapide à la maison, vérifiant que je n'avais rien oublié. « Tu es sûr qu'on a pensé à tout ? » Demandais-je à Dylan en grimaçant une fois encore. Mais il ne répondit pas. Il me prit par la main pour que je me retrouve face à lui. Il tenta vainement de me rassurer, mais j'avais atteint le pic maximal en matière de stress. « Il peut se passer un tas de trucs en une heure et demie. La preuve, Heaven n'est toujours pas prête et il faut qu'on enregistre toutes nos bagages à l'aéroport et les jumeaux peuvent être ingérables quand ils s'y mettent... » Je le regardais dans les yeux, comme pour y trouver du réconfort. « Je sais, je suis folle. » Ajoutais-je en le voyant me jeter son regard amusé.

Oui on a pensé à tout et puis on a le principal si il manque des choses on aura les magasins a Los Angeles est on ira acheter ce qui manque mais le principal on toi et moi les enfants et leurs doudous dis-je avec un sourire amusais, j’étais beaucoup moins stresser que Tara , tandis qu’elle , elle penser absolument a tout Pour le moment tout ce passe bien tu vas aller voir Heaven et je vais m’occuper des jumeaux et regarder si tout est bien éteins et fermer et on partira pour enregistré nos bagage pour le moment ils sont calme , c’est avec ton stresse que tu vas les rendre nerveux. je me mordis la lèvre Oui tes folles je lui vola un baiser Mais je t’aime puis je me recula est lui donna une claque sur les fesses pas forte non plus juste pour rire aller va voir ta fille e, je m’occupe du reste les jumeaux ne bouger toujours pas donc je partie voir si tout était éteins bien fermer d’ailleurs je descendis au sous sol pour couper le gaz l’électricité et couper l’eau en même temps on aller partir j’allais pas tout laisser en route , bon nos ami avait nos clé au cas ou si il se passer un truc , mais ils savaient comment tout remettre aussi en route , je remonte alors pour voir les jumeaux qui s’amuser entre eux Tara tes prête ? crie je à ma femme qui était à l’étage avec sa fille . Je pris ensuite les jumeaux est partie les installer dans la voiture il ne manquer plus que Tara et Heaven

Je ne comprenais pas comment Dylan restait aussi calme. Ça me dépassait. J'étais pire qu'une monitrice de colonie de vacances, je gérais et stressais toute ma petite troupe. Heureusement que Dylan était là pour me rassurer, même s'il était loin d'y arriver complètement. « T'as raison mais ça serait débile de racheter des trucs alors qu'on a déjà tout ici. » Il me dit d'aller veiller sur Heaven pendant qu'il s'occuperait des jumeaux. « D'accord. » Répondis-je simplement en soupirant. J'avais peur de rater notre avion et de devoir remettre notre voyage à plus tard. Dylan m'embrassa en approuvant ma folie. Il ajouta qu'il m'aimait, ce qui me fit sourire. « Je me demande parfois comment tu fais pour me supporter... » J'ai de nouveau soupiré en allant m'occuper de Heaven. Je me suis tut de même retournée pour tirer la langue à mon mari lorsqu'il m'a tapé les fesses. 
Heaven était dans sa chambre en train d'enfiler un nouveau tee-shirt. « Pas comme ça ma chérie, et pas celui-là voyons ! » Lui dis-je en l'aidant à en enfiler un autre. Dylan me demanda si j'étais prête, chose à laquelle je lui ai répondu en criant : « Oui ! On descend ! » Je pris Heaven par la main pour rejoindre toute notre petite famille. Une fois près de Dylan et les jumeaux, j'ai ajouté : « Voilà, normalement tout est bon. Tu as tout coupé ? » Lui demandais-je une dernière fois en emmenant Heaven dans la voiture.

Et alors ? On sera en vacance avec nos amis pour nous détendre et rester loin de notre boulot un peu Tara détend toi tout va bien je lui dis ensuite que je l'aimais pour la détendre un peut et sourie  et je lui montre mon alliance pour le meilleur et pour le pire pas le choix dis je pour la taquiner et je la laisse alors ensuite partir avec Heaven pour l'habiller de nouveau tendis que moi je m'occuper du reste et aussi sa me permettais de pas avoir Tara dans les pattes avec tout son stresse , elle allait me rendre nerveux aussi a force.

Une fois tout terminé j'attendis ma femme et ma mini femme arriver Oui chef tout est couper la voiture vous attend j'avais par moment des blague pourrit ce qui pouvais énerver , mais c'était pour détendre l'atmosphère  sa serais une fois dans l'avions que tout irais bien quoi que Tara aller encore nous trouver quelque choses pour stresser comme d'habitude enfaite j'aurais du lui donner un somnifer pour être plus tranquille pendant le voyage (a)

« Oh non le boulot ! Je vais prendre un retard monstre ! Heureusement que les ordis existent sinon je serais mal... » Et voilà que je commençais à stresser pour mon travail. J'aurai une pile monstre de lettres auxquelles répondre en rentrant de vacances. Ce n'était pas le moment d'y penser, je devais me concentrer sur le bon temps qu'on allait passer en famille. « Sans oublier que tu m'aimes à la folie. » Répliquais-je à sa dernière remarque en souriant. Puis je suis allée m'occuper de Heaven.

« Parfait, alors je crois qu'on peut y aller. » Répondis-je à Dylan en aidant Heaven à s'attacher. J'ai ensuite tourné la tête vers Dylan pour ajouter : « Ne m'appelle pas "chef", ça fait trop autoritaire. » Je suis à mon tour montée dans la voiture côté passager, j'étais bien trop stressée pour conduire. « Allez en route pour l'aventure ! » Repris-je en m'efforçant de sourire.

Je n'aurais pas du parler du boulot Hep hep pas de boulot la bas ! La vie amoureuse des autres attendra deux semaine je l'attrapa par les hanche et la regarda dans ses manifique yeux Cette fois tu vas devoir t'occuper de ton mari je lui vola ensuite un baiser , oui pas de Tara est sa rubrique pendant ses deux semaine Oh oui ! Je t'aime comme un fou oui depuis la première fois qu'on c'était vue malgré tout nos problème

 On partie installer les petits et je la regarda quand Tara s'adressa a moi Pour le moment sa te va bien oui vue tout ce qu'elle m'avait dit avant que je lui parle pour la détendre un peux .Je monte ensuite dans la voiture  et je me mi a rouler et lui pris ensuite la main ça va nous faire du bien ce voyage

Pas de boulot pendant deux semaines ?! Comment allais-je survivre ?! C'était tout bonnement impossible. Dylan ne pouvait pas me demander ça. Si je prenais du retard, j'allais devenir insupportable et qui dit insupportable dit invivable. Je sais comme je peux être ingérable quelques fois, mais le travail est très important pour moi et j'ai énormément de mal à m'en défaire. "Je dois les aider ! Dylan, tu ne te rends pas compte !" Répliquais-je en grimaçant. Peut-être réussirais-je peut-être à délaisser mon ordinateur pendant quelques jours, mais sûrement pas pendant deux semaines, cela m'était complètement impossible. "D'accord, je vais m'occuper de toi." Concédais-je en soupirant. Ce n'est pas que je ne voulais pas le faire, loin de là. C'est juste que se couper complètement du monde et plus précisément de mon travail était une chose extrêmement difficile à faire pour moi. "Et je t'aime plus encore." Ajoutais-je à sa dernière réplique.

"Tu penses que je suis trop autoritaire ?" Demandais-je à Dylan lorsqu'il me répondit que le surnom de "chef" m'allait bien. J'ai serré sa main quand il prit la mienne et j'ai souri à sa réflexion. "Oui, ça va nous faire du bien." Répétais-je le sourire aux lèvres. "Et puis je vais enfin pouvoir revoir June !" En m'imaginant devant la télé avec ma meilleure amie, le stress me laissa peu à eu tranquille. "On pourra aussi revenir dans nos endroits préférés, ça va être magique."

Je me doute que tu dois les aidées, mais ta le droit à des vacances comme tout le monde aussi Tara oui eux quand ils seront en vacances ils vont pas lui envoyais de mail sur leurs problème sur leurs vie amoureuse ou bien ils n’avaient rien d’autre à faire aussi… Mais je sourie lorsqu’elle me dis qu’elle s’occuperait tout de même de moi tes la meilleurs je lui voulais  alors un baiser et on partit préparé les petits dans la voiture et nous voilà sur la route .

Je sourie amusais lorsqu’elle me demanda si je la trouver trop autoritaire Lorsque tu es Stresser tu t’en prends souvent à moi, mais sa j’en ai l’habitude je sais que c’est parce que tu as peur que tout ce passe mal avant notre départ. Mais je te dis ça pour rire tout ta l’heure je lui pris ensuite sa main une fois démarré et y déposa un baiser   Oui je vais pas te voir lorsque tu vas être avec elle , heureusement que ma mère est dans le coin et qu’elle veut voir ses petits-enfants Oui on pourrais profiter un peux temps que ma mère les gardes quelque temps , elle les voyais que très rarement et puis on devait loger la bas aussi Bien sur , comme l’endroit ou je tes embrasser la première fois ou alors quand je tes demander ta main dis e avec un petit sourire

Je ne voulais pas délaisser mon travail pendant deux semaines. Ça peut paraître insensé, mais c'était tout moi. Et même si Dylan s'épuisait à m'expliquer que je n'avais pas besoin de travailleur durant tout ce temps, je ne le croyais qu'à moitié. "Les problèmes sentimentaux n'ont pas de vacances eux." Je persistais dans mon propos. Mais j'ai tout de même accepté de lâcher du leste, le temps de nos vacances. Pour une fois que nous pouvons les prendre tous les deux, ça n'était pas arrivé depuis trois ans. Il fallait en profiter. "Je sais." Répliquais-je à mon chéri lorsqu'il dit que j'étais la meilleure.

Une fois dans la voiture et en route pour l'aéroport, Dylan m'expliqua que je m'en prenais beaucoup à lui lorsque j'étais stressée. Je ne pouvais pas le contredire et je m'en voulais d'agir de la sorte. "Je suis désolée... Je sais que je ne devrais pas m'en prendre à toi, je dois arranger ça..." Lui répondis-je en grimaçant. Puis j'ai cité June, ma meilleure amie de Los Angeles. Elle me manquait terriblement. "Tu peux venir avec nous aussi. Mais je doute que nos histoires d'amour t'intéressent." Répliquais-je en souriant. "Oh oui ! J'ai tellement envie de retourner là où tout a commencé ! Même si je doute qu'on nous laisse entrer dans les dortoirs de la FAC." Je me suis mise à rire en disant cela. Il s'agissait de tellement de souvenirs. C'était magique.

C'était pas facile de faire changer d'avis a Tara sur son boulot , mais j'étais content qu'elle aimait ce qu'elle fessait .Je haussa alors simplement les épaules a mon boulot non plus , mais eux vont pas s'occuper de toi quand ils auront leurs vacances surtout qu'on attend ce moment depuis un moment et moi j'avais envie dans profiter totalement ! Oui Tara était la meilleure car elle arriver tout de même a mieux géré certaine chose que moi le boulot les petit la vie a la maison moi je péterais un peu les plombs avec tout sa par moment , mais heureusement on arriver a avoir certain moment pour nous deux et heureusement .

On pris la route est je haussa les épaules j'ai l'habitude a force dis je avec un sourire amusais Je pense connaitre tes histoire d'amour a toi , mais pas celle de june est j'avoue c'est pas mon truc tout sa donc je vous laisserais entre fille et tu dois profiter d'elle aussi je sourie amusais ,c'est sur que sa ne serais pas facile tant pi on rentre en douce comme on fessait pour aller ce promener la nuit oui sinon on ne pouvais pas profiter avec les cours les heures de sortie était stricte la bas donc on sortait souvent en douce pour être que tout les deux je suis sur y a encore notre passage

Dylan avait raison, je ne devais pas laisser mon travail empiéter sur ma vie privée, sur notre vie privée. Nous prévoyions ce voyage depuis trop longtemps, je n'avais pas le droit de me plaindre en parlant de boulot. Et puis les lettres seront là à mon retour, tout comme les mails, je ne devais pas m'en faire pour ça. Ma nature profonde m'empêchait de m'amuser mais je devais pourtant me laisser aller au bonheur. Au fond de moi, je me disais que si mes lecteurs n'avaient pas le droit au bonheur, pas de répit, moi non plus je n'y avais pas droit. Mais avec Dylan, on a déjà eu le droit à nos périples amoureux, la paix devait être savourée. C'est pourquoi j'ai rendu les armes pour lui répondre en soupirant : "Tu as raison. Je ne parlerai plus boulot, promis." Mais c'était plus fort que moi. "Mais les mails et les lettres... Non d'accord, je ne prononcerai plus aucun mot en rapport avec le travail." Ça me demanderait un effort considérable mais je devais y arriver.

J'ai tiré la langue à mon mari lorsqu'il répliqua qu'il avait l'habitude que je m'en prenne à lui. Puis nous en sommes venus à parler de June. J'avais hâte de la revoir et de pouvoir la serrer dans mes bras. Mais Dylan ne voulait pas prendre part à nos discussions féminines, ce qui me faisait bien rire. "Tu es bien sûr de tout connaître de mes histoires d'amour ?" Lui demandais-je pour le taquiner. "Oh oui notre passage... C'est si loin tout ça. Ça me manque." Repris-je au sujet de la fac.