AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion


 
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 

 (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité

Anonymous


(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse EmptyMer 20 Mar - 19:19

Ce week end sans toi était trop long ma princesse.


En ce lundi après-midi, Eden-Pearl était occupé à faire du ménage après être revenu d’un rendez-vous avec une cliente. Avec tout ce qu’elle traversait ces derniers temps, elle passait de moins en moins de temps dans son propre institut de beauté alors heureusement qu’elle avait engagé une employée durant sa grossesse, qui devait rester seulement quelques mois, le temps que sa grossesse se termine et puis elle prenait deux mois de congés maternité. Seulement, elle avait refait son contrat avec elle, ayant besoin d’elle, puisque son employée faisait désormais plus du double de rendez-vous qu’elle-même. Elle plus la secrétaire, heureusement que l’institut marchait plutôt bien. Mais bon, avec tout ce qu’elle avait, entre la mort de sa fille, sa dépression et le départ de son mari, elle avait bien autre chose à faire. Bref, ce week end, comme presque tous d’ailleurs, elle avait beaucoup bu, noyant son chagrin dans l’alcool et donc, faisant du ménage, elle était allée jeter toute les bouteilles terminées. Après l’école, Penny sa fille devait revenir jusqu’au vendredi suivant et elle ne voulait pas qu’elle voit toute les preuves de son problème avec l’alcool, elle n’avait pas vraiment besoin de ça. La simple absence de son sourire devait lui faire comprendre qu’elle était déprimée, malgré ses cinq ans, elle pouvait très bien le voir. En même temps, elle n’était plus la Eden qu’elle était aussi. En tout cas, heureusement, lorsqu’elle a fini de nettoyer une bonne partie de la maison, où elle y était toute seule depuis vendredi matin, depuis que la petite était allé à l’école avant de partir en week-end chez son père. Et comme d’habitude ces derniers temps, elle était resté seule, enfin pas tout à fit, ses meilleures amies du moment les bouteilles, car soient ses proches étaient occupés, soient ils n’osaient pas ou encore, elle leur disait allé parfaitement bien même si son état ne le montrait pas. Finalement, elle prit les clés de maison et de la voiture et se dirigeant vers l’école de sa princesse.

Devant l’école en avance, elle avait hâte de voir sa Penny chérie. Penny c’était sa fille, sa raison de vivre, celle pour qui elle se levait tous les matins et c’était grâce à elle qu’elle tenait le coup. Car elle avait beau toucher presque le fond, elle essayait tout de même de se relever pour Penny, pour être la mère qu’elle méritait. S’il arrivait quelque chose à sa fille, elle ne le supporterait pas. D’ailleurs, durant presque trois jours sans elle, elle lui avait manqué. D’ailleurs elle avait téléphoné à son ex pour savoir si tout se passait bien même si comme à chaque fois, les discussions entre les parents se finissaient mal, ce qui ne l’empêchait pas de rappeler quelques heures plus tard. Alors qu’elle entendit des enfants crier et courir en sortant de la cour de récréation pour rejoindre leur parent, surveillait de près par deux ou trois maitresses, elle eut un petit sourire en voyant Penny arriver. Alors que cette dernière arriva très vite à sa hauteur, elle se baissa en disant : « Hey coucou ma petit princesse ! » Dit-elle s’abaissant à sa hauteur afin de pouvoir bien la regarder dans les yeux et de la prendre dans ses bras. C’était affreux comment elle lui avait manqué, ça lui faisait un bien fou de la voir, c’est d’ailleurs pas étonnant qu’elle lui dit : « Tu m’as manqué ma puce » dit-elle après lui avoir embrassé le front. Se relevant finalement, mais la regardant tout de même toujours, elle demanda « Alors comment ça va, c’était bien chez papa ? » Demanda-t-elle curieuse. Ce n’est pas parce que la demoiselle est en froid avec son père qu’elle ne veut pas savoir ce qu’il se passe, bien au contraire, puisqu’elle était la seule à lui dire comment ça s’était passé. Attendant sa réponse, la mère et la fille commencèrent à marcher jusqu’à la voiture.

© MISE EN PAGE PAR TAZER.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Anonymous


(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: Re: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse EmptyMer 20 Mar - 20:28


ce week-end était trop long sans toi ma princesse
feat H. Eden-Pearl W-Rowling .





Des papillons bleus caressèrent doucement mon nez alors que je riais aux éclats dans l'herbe verte. Une petite boule de poile toute blanche me sauta dessus et me lécha le visage. Mon rire redoubla d'intensité. Je me roulais en boule, essayant à tout prix de faire stopper bubulle, mon petit chien tout doux. J'étais tellement heureuse de le voir que je le pris dans mes bras, caressant ses poils soyeux en roucoulant, confiant à mon fidèle compagnon combien je l'aimais. Dans mon rêve, mon prénom raisonna plusieurs fois à mon oreille. Je connaissais cette voix par cœur. Et tout doucement, mon rêve s'en alla aussi vite qu'il était arrivé. Je clignais des paupières et ouvrit finalement les yeux sur le plafond de ma chambre. Mes étoiles fluorescentes étaient toujours là, au dessus de mon lit, me guidant la nuit lorsque j'avais peur du monstre dans le placard. « Mon ange, il est l'heure de te lever » annonça la voix que je venais d'entendre dans mon rêve. Des doigts frais vinrent caresser doucement mes joues, repoussant mes longues boucles sur mon oreiller. Je tournais la tête et découvris le visage souriant de mon père. Un sourire traversa mon visage avant que je ne le cache sous la couette. « Veux pas y aller  » murmurais-je simplement en boudant sous les draps. J'entendis mon papa éclater de rire et il me chatouilla les pieds. J'éclatais de rire et bougeais dans tous les sens. « Papa !!! Arrête !!! Ça chatouille aux orteils » criais-je en lui sautant au cou. Il me réceptionna et embrassa mon front en me serrant dans ses bras. « Bonjour mon bébé  » murmura-t-il tandis que je glissais mon visage dans son cou tout chaud, respirant son odeur familière. Je le sentis bouger avant qu'il ne m'emmène dans la cuisine, moi, toujours dans ses bras, accroché à lui comme un koala. «  B'jour Papa  » répondis-je en sortant ma tête de ma cachette afin de lui déposer un gros bisous qui claque sur sa joue rasée. Nous discutâmes un long moment à table pendant que je mangeais deux gros pancakes, mon bol de chocolat et un verre de jus d'orange pressé. Puis vint l'heure de la douche. La fameuse douche durant laquelle je le noyais complètement sous le jet d'eau chaude. Au finale, nous étions tous les deux trempées. Il me laissa me sécher pendant qu'il allait se changer, puis il m'aida à m'habiller d'un pull blanc pailleté, d'un jean slim noir et de mes superbes bottes que j'avais retrouvé dans mon placard en cherchant ma barbie hier après-midi. Il s'occupa ensuite de ma longue chevelure bouclé. Il me fit une couette puis la deuxième et je me contemplais dans le miroir. « Papa ?  » Il tourna la tête vers moi et me fit un large sourire. « Oui ma puce ?  » Il contemplait ma coiffure, apparemment très fier de lui vue son regard appréciateur. « Pourquoi mes couettes elles sont toujours bocales ?  » demandais-je en tournant la tête vers lui. Il me fixa sans rien dire pendant quelque minutes, puis regarda ma coiffure avant de froncer les sourcils et de plisser les lèvres. « Bancale Pen, tes couettes sont bancales. Y a rien à faire » continua-t-il en enlevant les élastiques et en passant ses doigts entre les boucles, « J'arriverais jamais à les faire ses maudites couettes  » Apparemment il parlait tout seul aussi. J'haussais simplement les épaules puis nous décidions d'un commun accord de les laisser naturelles. Nous allions être en retard.

La journée passa lentement et finalement la cloche annonçant la fin de l'école retentit dans tout l'établissement. La maîtresse nous fit noter nos devoirs dans les cahiers de texte avant de nous demander d'attendre que nos parents viennent nous chercher. Lorsqu'elle aperçut ma mère par la fenêtre, je pus enfin sortir de classe. Je marchais jusqu'à la grille et la vie aussitôt. « MAMAN !!  » hurlais-je en me mettant à courir aussi vite que mes petites jambes me le permettait. Je fus rapidement à sa hauteur et elle s'agenouilla pour être à la mienne. J'enroulais mes bras autour de son cou et la serra fort contre moi. «Hey coucou ma petit princesse !» murmura-t-elle en me prenant elle aussi contre elle. J'enfouissais mon visage dans son cou et respirais son odeur qui m'avait tant manqué durant ce week-end. J'aimais ma maman, elle était tout pour moi. Je ne pouvais me passer d'elle, même si la présence de mon papa compensait. J'étais heureuse d'être chez mon papa mais malheureuse que maman ne soit pas là. J'étais heureuse d'être chez maman, mais malheureuse que papa ne soit pas là. Il me manqué toujours quelque chose. Toujours. Aussi, même si tenir ma mère contre moi me redonna aussitôt le sourire, le fait que mon père ne soit pas présent me fendit le cœur. Encore. «Tu m’as manqué ma puce» Elle m'embrassa le front et j'embrassais sa joue en retour. Je me refusais de la lâcher même si mon sac avait piégé mes cheveux dans la sangle de mon sac. La douleur était là, mais cela me passait complètement au-dessus de la tête. « Tu m'as manqué aussi Mamoune » dis-je en relâchant mon étreinte et en prenant sa main dans la mienne. De l'autre je dénouais mes longs cheveux, laissant la mèche meurtrie reprendre sa place dans mon dos. Je sentais mes boucles répondirent lorsque je marchais. Maman m'avait déjà demandé si je voulais les couper, j'avais toujours refusé. J'adorais mes cheveux, on pouvait faire plein de truc avec. Pas question qu'un ciseau s'approche de ma chevelure. Je voulais ressembler à Raiponce ! Point finale ! «Alors comment ça va, c’était bien chez papa ? » demanda maman en m'emmenant vers la voiture. Je démarrais automatiquement au quart de tour. « C'était troooop bien ! J'ai regardé Raiponce. On a fait des pêcres ( crêpes ), on a joué aux zeux des couleurs, docteur maboul. J'ai étais voir les nanimaux au zoo et j'ai même fait du dada sur un petit dada orange.  » déclarais-je enjouée en tapant dans mes mains. Je levais la tête pour sourire à ma mère avant de tendre les bras vers elle pour qu'elle me soulève. Elle m'avait trop manquée. Je voulais l'avoir pour moi toute seule. « Maman ? La maîtresse elle est pas gentille. Aujourd'hui elle m'a demandée mon nom et mon âge. Bah alors moi j'ai répondu : Je m'appelle Penny Rose Bowling ( c'est fait exprès XD ) et j'ai 5 dents ! Eh ben elle m'a dit que je m'étais trompée ! » expliquais-je en jouant avec les cheveux blonds de maman. Façon, elle y connaît rien la maîtresse. »





@destiny.

Pour les rp's j'ai décidé d'expliquer comme je le ferais avec Raphiki ce qu'elle voit, ce qu'elle ressent. Parce que tout est très clair dans sa tête. Bon après si je commence à parler comme une petite fille de 5 ans partout, on va plus rien comprendre. Donc j'espère que sa te plaira comme ça :) Sinon je changerais ma façon de faire. J'ai juste pensé que c'était mieux écrit comme ça awn
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Anonymous


(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: Re: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse EmptyVen 22 Mar - 0:31

Ce week end sans toi était trop long ma princesse.


Eden était méconnaissable par rapport à la femme qu’elle était changée. Il faut dire qu’elle avait complètement changé, physiquement comme psychologiquement. Le drame qu’avait vécu la famille Rowling l’avait complétement changé et ne semblait pas vraiment s’en remettre. Elle ne faisait plus autant attention à son apparence comme elle le faisait avant, avec des cernes dû au fait de pleurer etc. Mais elle se devait de faire un effort, pas pour elle mais pour sa fille. Penny avait suffisamment vécût de choses ces derniers temps, elle avait perdu sa petite sœur seulement quelques jours après sa naissance, après que sa mère soit revenu de la maternité, avait vu son père partir de la maison après de longues disputes avec sa mère et allait d’une maison à une autre alors voir l’état psychologique de sa mère se dégrader, la belle blonde voulait éviter ça. Bien qu’elle n’arrive pas à se relever, elle avait bien sur conscience d’avoir un problème. Ayant grandi avec un père en dépression, elle savait que ce n’était pas simple alors elle voulait éviter de connaitre la même chose avec elle. Jamais elle ne ferrait comme son propre père et lui demanderait de s’occuper d’elle-même toute seule. Non seulement elle n’avait que cinq ans, son père demanderait sa garde exclusive et elle ne pourrait plus voir sa petite princesse et en prime, elle avait son rôle de mère à tenir, et elle voulait être une mère parfaite pour Penny. C’était sa petite princesse et elle le méritait après tout. Mais bon, elle n’était pas parfaite mais au moins lorsqu’elle était avec Penny, elle était une mère qui ne touchait as à la boisson mais qui la retrouvait dès que sa fille était chez son père, son frère, dormir chez des amies de sa classe ou bien dans la famille Rowling. Heureusement, Penny n’avait jamais vu sa mère dans l’état où elle était lorsqu’elle buvait ou avoir une crise sa folie. Sinon, sa fille ne la regardait surement plus de la même manière avec ses magnifiques yeux innocents. Et ça, perdre sa fille, perdre son regard qui la faisait tant craquer lorsqu’elle voulait quelque chose, ça serait horrible pour elle. Que les autres, ses voisins, Caleb, ses proches, les inconnus, la voient dans cet état, elle s’en contre fichait mais as Penny. Cette dernière était tout ce qui lui restait, enfin c’est ce qu’elle disait, elle avait encore également son frère, son père, ses amies et même Caleb malgré tout ce qu’elle disait, ils étaient là eux aussi mais sa fille s’était sa priorité et elle le restera toujours. Croisant le regard de certains parents qu’elles connaissaient vite fait, elle vit qu’ils la regardaient bizarre et dès qu’elle croisait leur regard, aussitôt, ils baissaient les deux, comme par hasard. Mais savoir qu’ils la regardaient soit avec compassion, soit avec pitié ou autre, elle s’en fichait, tout ce dont elle avait en tête était sa fille, rien qu’elle.

Apercevant sa princesse, elle eut un petit sourire au coin. Elle était toujours aussi belle et à chaque fois qu’elle la voyait, elle avait l’impression qu’elle avait changée et était à chaque fois de plus en plus grande. Et voilà qu’elle la voyait courir, un sourire aux lèvres dans sa direction. « MAMAN !! » Entendre son enthousiasme lorsqu’elle crié cela et la voir courir vers elle lui fait chaud au cœur. C’était fou comment elle n’était pas la même personne lorsqu’elle était en compagnie de sa fille et quand elle ne l’était pas. Non seulement elle déprimait et buvait beaucoup d’alcool quand elle n’était pas là, mais en plus, elle était douce, calme et puis souriait, bien que cela ne dépassera pas le sourire qu’elle avait avant que tout cela arrive. Elle souriait déjà un minimum, c’était déjà ça. Maintenant, elle l’avait dans ses bras et c’est tout ce dont elle avait besoin. Ces petits moments comme ça, c’était ce qu’elle préférait et qui lui faisait peu à peu revenir le sourire. « Tu m'as manqué aussi Mamoune. » Ça aussi ça l’aidait. Lui faisait un autre baiser sur son front, alors qu’elle avait sa main dans la sienne et passa l’autre dans ses cheveux en la regardant et lui dit « Hey mais tes cheveux ont encore poussés depuis la dernière fois, ma Raiponce » Dit-elle avec un sourire. Elle savait que sa fille voulait des cheveux très long pour ressembler à son héroïne de dessin animé préférée alors c’est pour ça que depuis qu’elle savait qu’elle ne voulait pas qu’elle lui coupe les cheveux à cause de cela, elle lui donnait comme surnom Raiponce. En tout cas, Penny avait des cheveux assez impressionnant tellement ils étaient longs et magnifiques et elle ne voulait jamais les couper même si elle lui coupait parfois les points lorsqu’ils étaient abimés. Alors qu’elles marchèrent vers la voiture, elle lui avait posé comme question si le week end avec son père avait été bien et vu son état d’excitation en lui répondant, elle comprenait que oui. « C'était troooop bien ! J'ai regardé Raiponce. On a fait des pêcres ( crêpes ), on a joué aux zeux des couleurs, docteur maboul. J'ai étais voir les nanimaux au zoo et j'ai même fait du dada sur un petit dada orange. » Elle aurait tellement voulu être là… Elle s’en voulait de perdre tout ceci mais ça, c’était sa faute à elle et à elle-seule. Si elle n’avait pas trompé le père de sa fille, ils seraient peut-être allés là-bas en famille, famille qui était heureuse à un moment donné. En plus, elles ne faisaient pratiquement rien toute les deux si ce n’est lorsqu’elles étaient à la maison où elles faisaient quelques trucs mais elles ne sortaient pas beaucoup mis à part dans le jardin, mais pas plus. Eden-Pearl manquait donc pas mal de choses alors il fallait qu’elle cange, mais elle n’était pas prête pour ça. « Des crêpes ma chérie, elles devaient être bonnes. C’était cool alors, vous avez du beaucoup vous amuser. C’était bien le petit dada orange ? » Oui, elle voulait tout savoir. Faute de ne pas avoir passé ce week end avec eux, avoir fait ces activités avec sa petite chérie, au moins, Penny pouvait lui raconter ce qu’ils avaient fait sans elle et comme ça, elle pourrait de l’imaginer. « Maman ? La maîtresse elle est pas gentille. Aujourd'hui elle m'a demandée mon nom et mon âge. Bah alors moi j'ai répondu : Je m'appelle Penny Rose Bowling ( c'est fait exprès XD ) et j'ai 5 dents ! Eh ben elle m'a dit que je m'étais trompée ! Façon, elle y connaît rien la maîtresse. » Eden ne put s’empêcher de rire, cela faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas fait et ça faisait du bien. Non pas qu’elle se moquait de sa petite chérie mais elle était tellement mignonne en parlant comme ça. Mais bien sûr, comme à chaque fois, elle la reprenait pour lui faire comprendre et pour ne pas qu’elle pense que cela se disait comme ça toute sa vie. « Elle n’a pas tout à fait tort ma puce. On s’appelle Rowling et non Bowling et tu n’as pas cinq dents mais cinq ans. » Et alors qu’elles arrivèrent à la voiture sur le parking et qu’elle avait ouvert la voiture, elle eut une idée, elle avait envie de changer un peu. C’est pourquoi elle, elle lui dit avec un petit sourire : « Ça te dit qu’on aille faire un tour au parc et qu’on mange une glace au lieu de rentrer directement à la maison ? » Elle avait beau poser la question, elle se doutait parfaitement de la réponse. ‘un côté, elle connait très bien sa fille et puis, elle est comme toute les enfants, même si elle n’avait pas mis un seul pied dans leur grande maison depuis trois jours, elle devait sans doute vouloir aller faire un tour avec sa mère. Enfin, Eden faisait ce que sa fille voulait.


© MISE EN PAGE PAR TAZER.


C'est parfait comme ça I love you
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Anonymous


(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: Re: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse EmptyMer 27 Mar - 20:27


ce week-end était trop long sans toi ma princesse
feat H. Eden-Pearl W-Rowling .





En entrant dans la cour de récréation, le premier visage que je vie fut celui de ma mère. Elle semblait pareil mais différente à la fois. Comme si elle était capable de changer d'humeur en un claquement de doigts. J'avais l'habitude de contempler ses yeux tristes. Depuis la mort de Rosie, une partie de ma maman était partie avec elle. J'avais appris à faire avec. Je n'avais pas vraiment le choix. Elle avait beau faire comme si tout allait bien, je savais que ce n'était pas le cas. J'avais 5 ans certes, mais je n'étais pas aveugle. Son teint était trop pâle, comme si elle était malade, et elle semblait fatiguée, comme si elle n'avait pas dormit depuis des semaines. Les cernes bleus sous ses yeux quand je m'approchais d'elle m'en apporta la preuve automatiquement. En regardant autour de moi, je remarquais les regards de biais que lui lançaient les parents du quartier. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi mais en réalité cela n'avait pas d'importance. Ma maman était la meilleure maman au monde. C'était sans doute pour ça. Bien que je ne comprenne toujours pas pourquoi papa avait dit le contraire la dernière fois. J'étais dans mon lit ce soir là, il était très tard et j'étais déjà couché depuis plusieurs heures. Je m'étais réveillée en entendant la porte d’entrée claquer. Papa avait dit qu'elle devait arrêté la bibine et commencer à devenir une bonne mère. J'étais restée dans mon lit, les yeux grands ouverts, serrant frigo, mon petit cochon rose tout doux contre mon coeur. Ma maman était... ma maman. Pour moi, elle était parfaite comme elle était. Alors je n'avais pas compris pourquoi il avait dit ça. J'avais cherché dans ma mémoire mais je n'avais rien trouvé. Comme le disait souvent ma nounou Albane : Parfois, les adultes disent des choses qui n'ont aucun sens. Cela devait surement en faire partie. Et puis d'abord, qu'est-ce que c'était la bibine ? Dans les bras de maman, je caressais ses cheveux, jouant avec ses boucles blondes. J'avais beau avoir hérité de leur texture, la couleur venait bel et bien de mon père. Et je ne sais pas pourquoi, je me demandais soudain de quelle couleur aurait été les cheveux de Rosie si ils avaient eut le temps de pousser ? Blond ou Brun ? Malheureusement, cette question resterait à jamais sans réponses. Je pensais souvent à ma petite soeur. A ce que nous aurions put faire ensemble si elle avait eut le temps de grandir. A toute les bêtises que nous aurions put inventer pour faire tourner en bourrique nos parents. J'étais certaine que j'aurais put être une grande soeur formidable. J'aurais voulut pouvoir changer les choses, mais du haut de mes 5 ans, je n'avais put que pleure, la disparition d'un bébé que je n'avais prit qu'une seule fois dans mes bras. J'étais certaine que papa et maman n'en serait pas là si Rosie était encore parmi nous. Et comme le disait Papa : On ne peut rien faire contre le destin. J'étais peut-être trop petite pour comprendre ce qu'il voulait vraiment dire, je pense avoir compris l'essentiel. « Maman dit, c'est quoi la bibine ? » demandais-je en la regardant droit dans les yeux. Je lui fis un petit sourire, attendant innocemment ma réponse. Cela me trottait dans la tête depuis leur dispute. Et je détestais ne pas comprendre. Maman m'embrassa le front, me déposa au sol, prit ma main dans la sienne et caressa mes cheveux. « Hey mais tes cheveux ont encore poussés depuis la dernière fois, ma Raiponce » Un grand sourire joyeux s'installa sur mon visage alors que mes yeux se mirent à pétiller. J'adorais quand elle m'appelait Raiponce. Je me voyais déjà sur un grand cheval blanc, galopant dans des prairies pleins de papillons et de fleurs de toutes les couleurs, ma longue chevelure cuivré et bouclé filant derrière mon dos. « Tu crois que mes cheveux poussent aussi vite que mes ongles ? » dis-je en lui montrant ma main. C'est la maîtresse qui avait dit que les ongles de doigts et des pieds poussent vite. Moi après, j'y connais rien. D'ailleurs, en parlant de la maîtresse, le regard qu'elle m'avait lancé la dernière fois en classe m'avait mis en colère. Et je l'avais dit à papa. Elle nous avait demandé si nous avions des frères et soeurs, quand ce fut mon tour, j'avais répondu que oui. Parce que Rosie était peut-être au paradis, mais elle était encore dans mon coeur, et sa photo était toujour sur ma table de chevet. Elle m'avait fixé comme si un deuxième nez me poussait sur le visage et puis elle avait compatit en me tapotant le dos. Elle était surement au courant, les nouvelles allaient vite dans le coin d'après Albane. Elle savait et elle me prenait en pitié. Je l'avais détesté ce jour-là. Et c'était la première fois que je ressentais ce sentiment. Autant pour moi, je l'avais ressentit aussi quand papa était venue me chercher à l'école vendredi soir. La maîtresse l'avait aussi regarder fixement en agitant des paupières et ne secouant ses cheveux. Albane dit que ça s'appelle : dévorer du regard comme on dévore une glace au chocolat. Autant dire que je n'étais pas d'accord du tout. J'étais jalouse, terriblement jalouse parce que mon papa était mon futur fiancé et je ne voulais pas que ma maîtresse me le pique. J'avais serré mes petits bras autour de son cou et j'avais pressé mon visage contre sa joue en lui demandant d'une voix aiguë quand on allait chercher nos bagues pour s'épouser. Il avait rie et la maîtresse aussi. Pourquoi elle avait rie d'ailleurs. Maman me ramena sur terre. « Des crêpes ma chérie, elles devaient être bonnes. C’était cool alors, vous avez du beaucoup vous amuser. C’était bien le petit dada orange ? » Je fis ma petite mine boudeuse en mettant en avant ma lèvre inférieure.. « J'arrive pas à le dire aussi ! » chouinais-je en relevant les yeux vers elle. J'avais beau essayer, je n'y arrivais jamais. Pourtant le mot était très clair dans ma tête. Crêpes. Crêpes. Crêpes. C'était pas si compliqué. Mon sac glissa de mon épaule et je le rattraper in extremis par la bretelle. Ce geste me donna encore mal au cheveux et je grimaçais. Aie. . « Oui, j'ai beaucoup rie. J'ai arrosé papa avec la douche ce matin. Et il m'a encore fait des couettes bocales ! J'ai eut un peu peur au début parce qu'il marchait vite le dada orange et qu'il était très très grand. Mais après il m'a léché la main quand j'ai donné du pain. Il sautillait comme un gourou ( kangourou ) dans la savane... Non pas la savane. Je sais plus » finis-je en riant. Lorsque j'expliquais à maman toute l'histoire avec la maitresse elle se mit à rire. Voir son visage s'égailler me fit du bien et je ne pus m'empêcher de rire avec elle. Même si je ne savais pas pourquoi elle le faisait à la base. « Elle n’a pas tout à fait tort ma puce. On s’appelle Rowling et non Bowling et tu n’as pas cinq dents mais cinq ans. » Je la fixais en clignant des paupières durant quelque minutes. Mon petit cerveau se mit en marche doucement et je soupirais. « C'est ce que j'ai dit mais la maîtresse elle entend jamais rien. Et puis en plus elle veut manger papa comme du chocolat. Je peux changer de colle ? ( d'école ) » demandais-je d'une voix suppliante en enlaçant sa taille. Au moment ou je comptais monter dans la voiture, maman m'appela et je me retournais, perplexe. « Ça te dit qu’on aille faire un tour au parc et qu’on mange une glace au lieu de rentrer directement à la maison ? » Sur le coup, je fus incapable de répondre. Ce n'est pas qu'on ne sortait jamais avec maman mais généralement on rentrait à la maison pour mes devoirs. On ne sortait pas si souvent que ça en fin de compte mais je n'étais pas malheureuse pour autant. Je pouvais regarder Raiponce autant de fois que je le voulais. Et finalement, je compris enfin ce qu'elle voulait dire et je poussais un cri de joie en sautillant sur place, mes boucles repondissant et cachant mon visage. « Oui, oui, oui, oui, oh oui ! Une glâce ! Une glâce au chocolat ! J'adore les glâces au chocolat !!!! »




@destiny.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Anonymous


(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: Re: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse EmptyDim 31 Mar - 20:38

Ce week end sans toi était trop long ma princesse.


Depuis tout ce que la famille Rowling avait connu, Eden était deux femmes différentes, tout dépendait avec qui elle se trouvait mais aussi dans quelle situation. En tout cas, avec Penny, c’était toujours pareil, elle essayait d’être la maman qu’elle avait toujours connu mais bon, ce qu’elle faisait avant d’avoir sa garde et après revenait au galop rien que par son physique qui montrait qu’elle n’était pas tout le temps celle qu’elle était avec elle. Pourtant, Eden aimerait pouvoir faire disparaitre en un claquement de doigt ces cernes pour ne pas que sa fille s’inquiète. Bah oui, elle n’a que cinq ans mais elle connait sans doute trop bien sa mère pour s’en rendre compte et c’est pour ça que parfois, quand elle y réfléchissait bien, elle se détestait de lui faire subir ça. Ayant en quelque sorte vécut la même chose, quoi que non car Penny avait son père qui était là pour elle entière lui au moins. Heureusement qu’il était là d’ailleurs, rien que pour ça elle lui en sera toujours reconnaissante même s’ils ne sont plus ensemble et se disputent à la moindre occasion lorsqu’ils se voient. Et ce n’était pas le seul qui était là pour Penny et heureusement d’ailleurs, comme son frère qui s’occupe beaucoup d’elle ou encore la famille de Caleb puisque son propre père, il la voit seulement quand la blonde est là également. Eden leur en sera sans doute toujours reconnaissante de l’aider avec Penny, même si elle s’en occuperait sans doute bien aussi doute seule mais avec ses folies passagères, il fallait donc mieux pas essayer. Et puis, Penny adorait passer du temps avec eux alors ça tombait bien. Bref, la prenant dans ses bras à la seconde même où elle arriva, cela lui faisait un bien fou de la voir devant elle, son petit rayon de soleil. « Maman dit, c'est quoi la bibine ? » En entendant cette question, elle resta come bloqué. A cet instant, elle avait honte, oui vraiment honte. Non mais quelle bonne mère serait dans cette situation ? Bah oui, elle savait très bien que c’était à cause d’elle qu’elle lui posait cette question. A cinq ans, Penny ne devrait pas se poser ce genre de question. Et si elle le faisait, c’était à cause d’elle. Elle n’avait pas pu faire autrement que de baiser le regard une petite seconde, elle la regarda ensuite dans les yeux en se baissant à sa hauteur pour savoir, elle en avait besoin : « Je, je… où est-ce que tu as entendu ce mot ma puce ? » Même si elle se doutait que c’était à cause d’elle et de, elle ne savait pas qui, avait dû associer la bibine à son nom et Penny avait dû entendre. Penny se maudissait elle-même mais aussi la personne qui devait avoir dit ça, bien qu’elle ne sache pas encore son identité. En attendant, sa fille la regardait en attendant sa réponse. Ne pouvait lui dire vraiment la vérité et dire que sa mère est une alcoolique mais n’étant pas du genre à mentir, surtout pas à sa fille à qui elle voulait dire la vérité, sauf quand elle voulait justement la protéger de la vérité où à la place de mentir, elle n’y répondait pas ou détourner la conversation, comme là par exemple avec son : « C’est rien, enfin rien d’important ! » En même temps, elle ne savait pas où sa fille avait entendu ce mot alors il ne fallait mieux pas qu’elle réponde car ça pourrait être catastrophique. Bah oui, si c’était pour dire que sa mère buvait beaucoup de bibine, il ne valait mieux pas qu’elle lui dise la vérité. En tout cas, elle était toujours en train de serrer sa petite chérie dans ses bras, le simple le fait de l’avoir dans ses bras lui faisait du bien au moral. « Tu crois que mes cheveux poussent aussi vite que mes ongles ? » Eden avait un sourire sur les lèvres, en fait, Penny était sans aucun doute la seule personne pouvait la faire sourire sans rien faire ou non. En fait, ces derniers temps, elle était la seule donc Eden avait besoin pour allait mieux. « Je pense que tes cheveux poussent plus vite, sinon tes ongles serait longs comme ça en quelques jours ! » Dit-elle en lui montrant une longueur avec ses doigts pour illustrer. Eden savait que les ongles poussent vite puisqu’elle est esthéticienne mais bon, vu comment les cheveux de sa fille poussent, ce n’est pas comparables et heureusement sinon elle devrait couper ceux de sa fille tous les jours ou presque. « J'arrive pas à le dire aussi ! » Elle était trop mignonne alors très vite elle la rassura : « Ce n’est pas grave ma puce ! » En venant lui faire un bisou sur le front. Elle était petite c’était normal, elle avait encore le temps. En tout cas, elles étaient en train de parler de son week end qu’elle avait passé avec son papa. « Oui, j'ai beaucoup rie. J'ai arrosé papa avec la douche ce matin. Et il m'a encore fait des couettes bocales ! J'ai eu un peu peur au début parce qu'il marchait vite le dada orange et qu'il était très très grand. Mais après il m'a léché la main quand j'ai donné du pain. Il sautillait comme un gourou dans la savane... Non pas la savane. Je sais plus. » Eden la regarda avec des sourires. Même si sa fille se trompait, elle ne la remarquait même plus, elle la comprenait de A à Z. En tout cas, Penny était vraiment un rayon de soleil et le simple fait de l’entendre parfois la rendait heureuse car elle égayait ses journées et la rendait plus heureuse sans même s’en rendre compte. Et dire que parfois, Caleb lui disait qu’il voulait sa garde, c’est sûr qu’elle n’allait pas aller mieux sans elle. La preuve, elle arrivait à sourire grâce à elle et elle était sans doute la seule à pouvoir faire en sorte qu’elle aille mieux. « Vous vous êtes beaucoup amusé alors, c’est super. Il était grand comment ? Comme ça ? » Dit-elle en montrant avec sa main pour savoir la hauteur, s’intéressant à tout ce qu’ils avaient pu faire. Sa fille était adorable, vraiment. Bon, toute les mères ou presque, disent ça, mais c’était vraiment le cas, un vrai rayon de soleil qui faisait tout pour la faire sourire. « C'est ce que j'ai dit mais la maîtresse elle entend jamais rien. Et puis en plus elle veut manger papa comme du chocolat. Je peux changer de colle ? » Fronçant les sourcils en entendant l’histoire de la maitresse qui voulait manger Caleb comme du chocolat, autant dire qu’elle ne comprenait pas, et surtout, elle voulait savoir ce que sa fille voulait dire par ça. « De… de quoi ? » Bon, faut avouer que sur le coup elle n’avait pas compris ce que voulait lui dire sa fille. La plupart du temps, elle comprend ce que lui dit sa petite chérie mais pas sur le coup. Mais très vite, elle analysa sa phrase et fronça les sourcils. « Pourquoi, qu’est-ce qu’il se passe entre elle et ton papa ? » C’était nul, très nul même de passer pour sa fille pour surveiller son père mais bon, c’était plus fort qu’elle. Avec tout ça, elle avait oublié de lui répondre sur sa dernière question, de toute façon c’était non, à part si la maitresse avait vraiment un problème. Arrivant à la voiture, elle lui avait donc proposé d’aller faire un tour et de manger une glace. Penny semblait étonné puis contente de sa proposition. « Oui, oui, oui, oui, oh oui ! Une glâce ! Une glâce au chocolat ! J'adore les glâces au chocolat !!!! » Elle lui fit un grand sourire, posa des affaires dans la voitures puis la verrouillé et les deux Rowling commencèrent à marcher vers le parc, main dans la main. « Héhé, tu tiens ça de moi, mes glaces au chocolat, c’est le meilleur des repas. Allons-y alors, la glace nous attend ! » C’est vrai qu’elle adorait ça, très gourmande de nature, autant dire qu’elle en avait mangé de la glace pour aller mieux lors du départ de Caleb. Et pourtant, cela ne l’avait pas aidé, à part à prendre quelques kilos. Arrivant vite dans le parc, elles allèrent directement au marchand de glace à l’entrée.


© MISE EN PAGE PAR TAZER.


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty
MessageSujet: Re: (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse   (Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

(Penny) Ce week end sans toi était trop long sans toi princesse

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» ALBANE & PENNY (+) « everywhere the angels play you are. »
» Dylan ✤ Sid, mais toi aussi tu auras une famille un jour ! Tu rencontreras une fille gentille, pas trop exigeante, qui n’aura pas trop l’choix et pas trop d’odorat...
» (M) Luke GRIMES ∞ Et si l'amour était plus fort après tout ?
» I don't hate you | Ft. Penny
» god knows i'm not dying but i breathe now ∞ penny

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SNOWFLAKE LANE :: WE LOVE TO FLOOD :: the archives :: Les RPs & formsprings-