Sujet: léo + « sauver cette étoile. » Mer 26 Mar - 23:09
Léo Hubert Jones
Je m'appelle Léo Hubert Jones mais j'ai honte de mon second prénom et j'ai 25 ans, puisqu'en effet je suis né(e) le 01 Juin 1988 à Winnipeg, au Canada. Ma situation sociale est actuellement moyenne et j'habite à Snowflake Lane depuis toujours; j'y suis interne à l'hôpital et j'habite seul. Niveau amour, je suis actuellement célibataire même si c'est quelque peu compliqué et d'ailleurs, je suis homosexuel. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un scénario de malade et c'est Will Higginson qui me prête son joli minois.
Cœur sur la main ♤ Sociable ♤ Jaloux ♤ Têtu ♤ Immature ♤ Sérieux ♤ Bavard ♤ Optimiste mais réaliste ♤ Blagueur ♤ Persévérant ♤ Tactile ♤ Passionné ♤ Intelligent ♤ Légèrement sauvage ♤ Souriant ♤ (trop) Curieux ♤ Calme à part quand il se tape un gros délire ♤ Un fond enfantin ♤ Susceptible ♤ Doux ♤ Profite de sa belle gueule ♤ Modeste ♤ Travailleur ♤ (trop) Protecteur ♤ Attentionné ♤ A l'écoute ♤ Ne pense pas assez à lui et fait trop attention aux autres ♤ Colérique et méchant quand on le pousse à bout ♤ Ouvert d'esprit ♤ Attachant ♤ Doux.
THEY ARE IN LOVE
THEY LIVE TOGETHER
THEY ARE A FAMILY
THEY LIVE ON THEIR OWN
Dernière édition par Léo H. Jones le Jeu 27 Mar - 19:30, édité 5 fois
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Mer 26 Mar - 23:10
tell me your secrets
Il a connu une enfance plutôt ordinaire, auprès de ses deux grandes sœurs, ses deux ainés masculins, sa petite-sœur ainsi que de ses deux parents aimants mais beaucoup trop absents. Sa mère est une journaliste réputée qui se déplace souvent dans les pays étrangers et son père est un chirurgien qui obtient des horaires considérables ne lui permettant pas d'être présent pour ses enfants. Léo n’a pas été malheureux, ni même vraiment heureux, il s’est seulement habitué à l’ambiance familiale prônant la réussite scolaire. Pensant dans un premier temps au meilleur pour leurs enfants, ses parents ne font pas attention à leur bien-être, seulement à ce qui pourrait les faire atteindre un haut niveau d’étude et un grand métier. Ce sont le style de parents à engueuler leurs enfants lorsqu'ils n'ont obtenu qu'un misérable 13 à un devoir important ; le genre de parents toujours en quête de ce qui est le mieux pour eux. Ils restent tout de même doux et suffisamment compréhensifs, sans pour autant s'attarder sur leur état psychologique. Seule la valeur physique compte au sein de cette famille, les problèmes et peines de cœur semblent inexistants. Ces deux parents ne réalisent pas qu'un peu d'amour partagé suffirait pour acquérir une bonne dose de motivation, ils s'obstinent alors à les éduquer de manière à la fois sévère, absente et tolérante. En vérité, sa mère ne faisait que respecter les désirs de son époux, qui n'étaient autres que leur permettre une intelligence élevée, toutefois par rapport à la moyenne. Léo pourrait au moins leur être reconnaissant, puisqu'il possède désormais une culture très développée.
Même si elle respectait la plupart du temps ce que souhaitait son mari, il lui arrivait de flancher et de les éduquer à sa façon, en leur témoignant un tant soit peu d'affection. Elle leur embrassait le front avant qu'ils ne s'endorment et soufflait chaque fois cette phrase "N'écoute pas ton père et sois celui que tu désires", mais Léo n'avait jamais percuté. En effet, son père lui répétait toujours les mêmes phrases à longueur de journée. Dès son plus jeune âge, il s’efforçait à lui faire comprendre qu’être dans le monde médical serait bénéfique pour lui. Il est chirurgien et voulait que son fils le devienne, afin qu’il prenne le relai lorsqu’il sera à la retraite. Il a alors reposé tous ses espoirs sur cet enfant, qui n’a pas eu d’autres choix que de respecter les désirs de son père. Depuis qu’il est tout petit, Léo souhaite donc être chirurgien ; il n’était pas comme les autres, à vouloir être un pompier ou un astronaute, tout simplement car son père s’est chargé de décider à sa place. Il ne s’est jamais vraiment rendu compte que cette décision ne venait pas de lui, ni même que son père a finalement bien agi en le poussant vers le monde médical. Il n'a jamais pensé que son père le manipulait seulement pour qu'il soit le prochain chirurgien renommé, ni même qu'il l'obligeait. Léo ne se force pas à le devenir, il en a envie. Son père lui a transmis sa passion à force d'en parler, et ne l'a jamais au contraire usé et épuisé. Il possède désormais un certain enthousiasme quant à l'obtention de son prochain diplôme qui aura lieu, si tout se déroule dans de bonnes conditions, dans quatre ans.
Léo s’est longtemps senti esseulé dans cette famille, car il se sentait quelque peu exclu : ses deux grands-frères étaient toujours ensemble, les deux grandes-sœurs aussi et la plus petite ne lui correspondait pas ; il n’avait pas sa place parmi eux et il le sentait au fond de lui. Non seulement Léo ne s’entendait pas forcément avec ses frères et sœurs, mais en plus il semblait effacé par rapport au reste de sa famille. Il ne faisait pas partie des délires familiaux, ne participait pas aux discussions essentielles, restait seulement dans son coin en compagnie de ses cours, ses livres et ses films. C'est à ses 10 ans qu'il a demandé l'autorisation à ses parents pour jouer de la guitare. Il s'ennuyait profondément chez lui et s'était découvert une fascination pour la musique. Il a donc pris des cours jusqu'à ses 18 ans, avant d'arrêter pour se consacrer à ses études de médecine. Il continue toutefois par moments, lorsque l'envie lui prend ou quand il en ressent le besoin, sans jamais faire écouter aux autres. La musique est seulement un petit plaisir de sa vie, qu'il s'accorde quand cette dernière lui paraît angoissante et étouffante.
Puisque ses géniteurs ne se décidaient pas à poser les yeux sur lui, il a pris l’initiative d’entreprendre des conneries. Il avait beau tenter plusieurs expériences, il n’arrivait pas à se faire remarquer - seules les personnes de son lycée manifestaient ne serait-ce qu'un peu d'attention à son égard, puisqu'ils étaient partagés entre ceux qui l'adoraient pour son côté fêtard, et d'autres qui le jalousaient pour sa richesse considérable et sa tendance à la prétention. Il persistait, dans l’espoir d’être vu par ses parents. Il buvait comme un trou, faisait le mur régulièrement, se prenait des heures de colle, soufflait sa fumée de cigarette contre leurs visages emplis de colère, tout en riant à travers la pièce. Au lieu de s'intégrer à sa famille, il a préféré jouer la carte de la chute totale. Au bout du compte, il n’a reçu qu’une paire de claques venant de son père et quelques mots suffisamment méchants pour qu'il cesse son cirque inutile. Il ne leur en a jamais voulu de ne pas vraiment prêter attention à lui, il l’a seulement mal vécu durant son adolescence. Il comprenait au fur à mesure que s’occuper d’une si grande famille, ce n’est pas toujours d’une facilité considérable, et compte quelques complications. Même si sa situation était compliquée durant près de trois ans, notamment avec ses parents, il n'a jamais cessé de garder son rêve en tête : celui de devenir un grand chirurgien, comme son père. Alors il a repris le droit chemin après le secondaire et s'est lancé dans la médecine.
Il a effectué ses 6 années de médecine en tronc commun, avec une aisance remarquable mais qui se justifiait par le fait qu'il passait parfois ses soirées à étudier. La médecine est sa vocation, alors jamais il ne se serait permis un écart ou encore un échec ; il a décidé qu'il deviendrait chirurgien, alors du moment où il l'a décidé, il s'est promis de tout faire pour réaliser son rêve. Il est désormais à sa première année d'internat, dans la spécialité chirurgie générale. Il en a encore pour 4 ans mais étant passionné, jamais il se montre démotivé : il est au contraire très persévérant et aussi têtu, surtout quand sa mère lui dit qu'il travaille beaucoup trop et qu'il ne cesse de la contredire. Durant sa seconde année de médecine, il a rencontré une jeune brune avec qui il a tenté une relation sérieuse, mais qui n'a malheureusement duré le temps de quelques mois. « Je t’apprécie, tu sais. Mais il me manque quelque chose, j’ai l’impression de me mentir. » Il a tenté de lui expliquer la raison de leur rupture, seulement il l'ignorait lui-même et trouvait cette situation tout bonnement inexplicable. Ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait, il avait déjà tenté deux fois avec des filles et c'était chaque fois le même résultat : absence de sentiments, ainsi qu'une séparation qui suivait. Il a longtemps pensé qu’il s’agissait d’un manque d’amour à l’égard de ces demoiselles, mais il a finalement compris que c’était seulement son orientation sexuelle qui était faite ainsi. Il n’était pas attiré par les femmes, mais par les hommes, et ça ne l’a pas tant perturbé que ça. Certainement qu’il le savait depuis longtemps au fond de lui, mais qu’il n’a jamais voulu se l’avouer. Il a attendu d'avoir au moins une expérience avant de l'avouer à ses proches, afin d'en avoir la certitude.
Lors de sa troisième année à l'université, il a rencontré ce brun en cours puisqu'il était dans la même filière. Il était difficile de ne pas succomber à son charme et tomber dans ses bras, il était certainement le garçon qui lui a fait comprendre qu'il était gay, simplement à l'aide de son physique et sa beauté. Quelques échanges, quelques sourires, quelques soirées et sorties ensemble : il n'en a pas fallu plus pour qu'ils se mettent ensemble quelques mois plus tard, quand il avait à peine 19 ans. Il a donc pleinement découvert son homosexualité dans les bras de cet homme, s'offrant totalement à lui sans la moindre gêne. Il lui a appris bon nombre de choses, notamment en ce qui concerne le sexe, mais ça n'est pas allé plus loin. Il l'aimait beaucoup et il tenait à lui, mais comme avec ses futurs petit-amis de quelques semaines, il ne bénéficiait pas de ce « je ne sais quoi » qui le faisait vibrer. Aucun ne parvenait à le faire frissonner. Son cœur ne battait pas plus fort à leur contact, et bien qu’il se sentait apaisé à leurs côtés, il était dans l'incapacité de poursuivre ces relations. Léo n'a donc jamais connu l'amour, même s'il a essayé plusieurs fois de savoir ce que l'on ressentait.
C'est à ses 19 ans qu'il a fait son coming out auprès de sa famille, parce que même s'il ne le signale jamais de peur de porter une étiquette, il voulait au moins être honnête envers eux. Il n'y est pas allé par quatre chemins et a tout balancé, alors qu'ils le dévisageaient chacun leur tour, installés confortablement sur les sièges du salon. Certains de ses frères paraissaient surpris, d'autres indifférents, mais la réaction la plus surprenante reste celle de sa mère, car on pouvait distinguer des larmes de joie dégoulinant le long de ses joues. « Je suis fière que mon fils s’accepte tel qu’il est, parce que c’est de cette manière que j’ai voulu vous éduquer. » Elle avait accompli son devoir de mère et semblait plus heureuse de le comprendre, que de la révélation de son fils. Et pourtant elle ne tarda pas à fixer son regard brillant dans le sien, afin de l’éclairer davantage sur ce qu’elle ressentait. Elle était avant tout fière de lui, pour ce qu’il venait d’annoncer alors qu’il savait autant qu’elle que son père n’aimerait véritablement pas cette nouvelle. Comme la plupart des mères, elle savait déjà et l’avait toujours su, dès le moment où ça n’avait pas collé avec cette fille. Mais elle avait pris le soin de ne pas mettre au courant son père afin d’éviter toute injure au sein de la maison, histoire de lui laisser le temps qu’il lui faudrait pour l’annoncer lui-même.
Finalement il a su comme tout le monde et n’a pas pu dissimuler les véritables sensations qu’il ressentait : dégoût, déception, colère. Son père n’aimait pas les homosexuels, il ne les détestait pas au point de vouloir les frapper, toutefois il n’approuvait pas l’idée d’en apercevoir main dans la main, en pleine rue. Il lui était donc difficile de comprendre, mais surtout d’admettre que son propre fils faisait partie de ce « groupe » maudit. Il avait tendance à classer les personnes à l’aide de diverses catégories, et le fruit de ses entrailles passait de « intelligent » à « tapette sans couilles », ce qui pouvait se caractériser comme la honte de la famille, le déchet dont il faudrait se séparer. Il ne lui disait rien, aucun mot vulgaire ne sortait de sa bouche, mais il le lui montrait par ses regards noirs, son ton empli de mépris. Leur relation se dégradait au fil du temps : il avait aimé son fils et misé tant sur lui que désormais, il lui en voulait terriblement pour ne lui laisser qu’un vulgaire goût amer de déception dans la bouche. Heureusement pour Léo, le reste de sa famille le soutenait, notamment sa mère. Elle savait que son époux l’écouterait, finirait par comprendre l’importance d’aimer son fils tel qu’il est, pour la simple et bonne raison qu’il adoptait souvent les mêmes idées qu’elle suite à une longue discussion psychologique. A force d’écoute et de persévérance, il a fini par accepter. Il lui a fallu quelques mois pour lui accorder à nouveau un sourire tendre et quelques mots prononcés sans aucune rage, mais grâce à sa femme, il a pu continuer de vivre sans considérer sa progéniture comme un poids dans son existence. Son père ne l’a jamais renié, seulement détesté le temps de quelques jours. Pendant cette période, Léo ne s’est jamais laissé rabaisser, il s’est efforcé de garder la tête haute, en s’imprégnant de l’optimisme de sa mère. Il n’aurait jamais été capable de dissimuler la vérité et être quelqu’un d’autre plus longtemps, alors il n’a jamais nié cette partie de lui, même si elle déplaisait fortement à son père.
Désormais, la maison des Jones s'est vidée : le plus grand-frère a emménagé avec sa femme, l'autre est parvenu à échapper à l'environnement stricte et scolaire de cette famille pour parcourir le monde, une de ses sœurs étudie dans l'optique de devenir une brillante avocate, alors que l'autre est déjà sage-femme. La plus petite est restée seule avec les deux parents, toujours dans la même maison familiale, pendant que Léo s'est enfin décidé à la quitter. Maintenant qu'il est en internat à l'hôpital et se voit récompensé d'une somme d'argent suffisante à la fin du mois, il habite dans un petit appartement tout seul. Il n'a plus envie d'être le petit fils à papa dont on lui a fait la réputation au lycée, il a souhaité prendre son indépendance et se détacher de sa famille quelque peu. Il vit pourtant toujours dans le même quartier, apparemment incapable de s'éloigner de sa ville natale, et se débrouille plutôt bien. Il n'est plus considéré comme un bourgeois et a un niveau de vie moyen, ce qui lui convient tout autant. Il commence la vie qu'il rêve depuis longtemps de vivre : pratique quelques activités du chirurgien, peut se présenter comme un Docteur dans la société même s'il n'a pas encore son diplôme en poche et est tout bonnement autonome et suffisamment heureux pour sourire constamment.
Et sinon, moi c'est Emeline ou Meuh, comme vous voudrez , j'ai en réalité 18 ans et j'ai connu le forum grâce à l'annonce du créateur sur un groupe facebook (première fois que je tombe sous le charme d'un scénario par le biais de ce groupe) . Ceci est mon premier compte. Mon petit mot de la fin? Tout ce que je trouve à dire pour le moment, c'est que je suis gaga devant l'accueil et le super scénario. .
Dernière édition par Léo H. Jones le Jeu 27 Mar - 18:50, édité 6 fois
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Mer 26 Mar - 23:13
NYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Bienvenue sur SL et merci encore d'avoir choisi mon scénario! Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à me Mpotter et bon courage pour ta fichette!
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Mer 26 Mar - 23:16
Ahhhhhahhh Toi Tu es l'âme soeur de mon dydy d'amour alors je t'aimeuh fort . Tu t'es bien occupé de remettre dydy sur ses jambes ( mouais, on sait tous pourquoi ), maintenant faut s'occuper de son petit cœur d'hérisson . Je sens qu'on va s'adorer Hubert Bon courage pour ta fiche
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Mer 26 Mar - 23:19
Roooooh te voilàààààà Comment dire à quel point j'approuve le choix du vava Tous les gifs et images que tu as mis me font baver des litres *-* Alors méga oui pour Will Higginson (je l'avoue, je connaissais pas du tout ^^") En tout cas, comment ne pas souhaiter au docteur Jones une arrivée en chanson de derrière les fagots ?
Et même si Demi-Lune a dit un jour...
... J'espère quand même que tu vas prendre le temps de le trouver l'amour et prendre soin de notre Dydy adoré (oui Dydy, c'est mon canard WC à moua eheheh)
On sera amené à se rencontrer et se croiser souvent, Benji c'est le poto à Dylan (ancien meilleur ami mais j'espère qu'on va vite le redevenir *-*) Bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à harceler ton patient préféré si tu as des questions ou le staff Yeaaah, c'est trop de la bombe que tu sois là Dr Jones
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Jeu 27 Mar - 12:41
C'est un accueil de malade, mon dieu je n'avais encore jamais vu ça en 7 ans d'expérience rpg. C'est vraiment du haut niveau, vous gérez et je vous aime déjà.
Dylan + Je vais te mpotter avec un grand grand grand plaisir.
Mila + La plus belle. Seulement pour être bien vu, histoire de l'apprivoiser plus facilement ensuite. Je vais prendre soin de son petit coeur maintenant, ne t'en fais pas. Ne l'appelle surtout pas Hubert ahahahah, au risque d'avoir quelques dents en moins ! (non je plaisante, il n'est pas violent - mais il peut le devenir. )
Benji + Je n'avais encore jamais eu un accueil pareil, alors tout d'abord, je te remercie mille fois, ça fait toujours plaisir ! Ensuite, je suis bien contente que tout te plaise en tout cas, parce que je dois avouer qu'il est vraiment canon ce type. Contente d'avoir contribué à ta bave... J'espère que tu en as pas foutu partout, ce serait quand même dommage. Oui j'ai lu un peu (en diagonale pour le moment en toute honnêteté ) vos fiches et votre RP, et je crois que c'est à cause d'un baiser que ça s'est dégradé ! J'aiderais à faire en sorte que tout redevienne comme avant entre vous deux, peu importe la raison.
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Jeu 27 Mar - 22:34
Youpiiii
On a hâte de commencer à RP avec toua
félicitations, ta fiche est validée!
Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même en DEMANDANT UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre événement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!
Sujet: Re: léo + « sauver cette étoile. » Sam 29 Mar - 11:23
Merci tout le monde. Et j'ai hâte de RP avec vous Benji, c'est tout à fait réciproque. Contente que tu aies apprécie de lire, c'est toujours mieux ahah.
Merci Roxanne, je dois avouer qu'une aussi jolie blonde pourrait presque être considérée comme le meilleur.
, j'ai en réalité 18 ans et j'ai connu le forum grâce à l'annonce du créateur sur un groupe facebook (première fois que je tombe sous le charme d'un scénario par le biais de ce groupe) 
. Ceci est mon premier compte. Mon petit mot de la fin? Tout ce que je trouve à dire pour le moment, c'est que je suis gaga devant l'accueil et le super scénario. 
.
Tu es l'âme soeur de mon dydy d'amour 
alors je t'aimeuh fort 
), maintenant faut s'occuper de son petit cœur d'hérisson 
(je l'avoue, je connaissais pas du tout ^^")
(oui Dydy, c'est mon canard WC à moua eheheh)
(non je plaisante, il n'est pas violent - mais il peut le devenir. 
)
