Sujet: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Jeu 2 Jan - 17:41
heather rheagan bowen
Je m'appelle HEATHER R. BOWEN et j'ai TRENTE ANS, puisqu'en effet je suis née le 06 JUIN 1983 à VILLE DE NAISSANCE, PAYS DE NAISSANCE. Ma situation sociale est actuellement NORMALE et j'habite à Snowflake Lane depuis MAI 2003; j'y suis BIBLIOTHECAIRE DANS UN LYCEE et j'habite AVEC MILAN D. HASTINGS. Niveau amour, je suis actuellement CELIBATAIRE BIEN QUE JE VOIE QUELQU'UN et d'ailleurs, je suis HETERO. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un UN SCENARIO et c'est ZOOEY DESCHANELS qui me prête son joli minois.
Dernière édition par Heather R. Bowen le Lun 20 Jan - 18:09, édité 6 fois
Invité
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Jeu 2 Jan - 17:42
tell me your secrets
Part I. l’enfance.
Tes yeux sont fixés sur ton plumier. Ton plumier posé sur ton banc. Tu te mords légèrement la lèvre. Ton stylo est dans ce plumier, tes bics, tes crayons,… Ca ne va pas. Ca ne va pas du tout. Sans prendre attention à ton instituteur qui s’évertue à essayer de faire comprendre un calcul à tes camarades, tu tires tout ce qu’il y a dans ton plumier. Tout. Tout ton matériel finit éparpillé sur ton banc. Ton voisin te regarde discrètement et te demande à voix basse ce que tu fabriques. Tu hausses les épaules et tu commences à mettre tes deux crayons gris ensemble avec ta gomme. Tes bics également. Lorsque tu les remets dans ton plumier, tu les places de telle sorte à ce que les capuchons et les pointes soient orientés vers la gauche. Satisfaite, tu souris tout en refermant ton plumier. « Heather ! » Tu sursautes légèrement et relèves la tête vers ton instituteur. Tu es mal à l’aise devant son regard et tu sens également le regard de tes camarades sur toi. « Alors Heather ? J’attends ! Donne-moi la réponse du calcul. » Tes yeux se dirigent vers le tableau. Oui, il y a bien un calcul au tableau. Mais t’as rien écouté de ce que disait l’instit donc tu vas avoir des ennuis. T’as beau réfléchir, tu vois pas comment résoudre ce calcul, tu ne trouves pas la solution. Tu baisses la tête et regardes à nouveau ton plumier alors que ton instituteur t’interpelle une nouvelle fois. « J’en sais rien…. » murmures-tu plus pour toi-même que pour l’instit. L’instituteur soupire et t’annonce que tu devras rester en classe durant la récréation. Légèrement honteuse, tu repenses aux affaires dans ton plumier. Tu n’es plus certaine d’avoir mis tous les capuchons orientés vers la gauche. Ça ne va pas, tu dois vérifier. Tu finis par ouvrir une nouvelle fois ton plumier et tu ressors encore tes affaires. Tout ceci alors que ton instituteur continue ses explications. Tu es déjà privée de récréation alors autant que tu vérifies les capuchons pour te rassurer.
∞∞∞
« Il y a une tache sur l’assiette. » Tu entends ta mère souffler de mécontentement. Ton père continue à servir le repas comme si de rien n’était alors que tes grands-parents te regardent du coin de l’œil. Ta mère t’arrache littéralement l’assiette des mains et l’observe attentivement. « Ce n’est qu’une minuscule tache Heather. Tu feras avec ! » te dit-elle en déposant l’assiette en face de toi. Elle avait beau te dire cela, ça ne changeait rien pour toi. Absolument rien. La tache était bel et bien là. Ton malaise ne fit que s’accentuer. Si la petite famille était réunie en ce jour, c’était pour toi, pour ton anniversaire. T’aimes pas vraiment être le centre de l’attention. Du moins, t’aimes pas recevoir autant d’affection d’un coup. T’as l’impression que tu vas étouffer devant tout cet amour qu’ils ont pour toi avec leurs cadeaux, leurs sourires, leurs compliments sur ta tenue, ta coiffure, ta gentillesse … Ton grand-père constate ton malaise et, avec le sourire, il échange ton assiette avec la sienne. Tu le remercies du bout des lèvres. T’entends à peine ta mère faire une remarque alors que tu analyses cette nouvelle assiette. Pas la moindre trace d’une tache. Tu vas déjà mieux. Même si tu sais que, maintenant, c’est ton grand-père qui a l’assiette avec la tache. Car oui, tu continues encore à penser à cette tache qui se trouve à quelques centimètres de toi. C’est comme si elle te larguait en criant « Regarde, je suis toujours là ! ». Tu essayes de chasser cette pensée de ta tête en te concentrer sur les paroles des adultes. « Elle est toujours comme ça ? » demande ta grand-mère à ta mère. Ta mère hoche la tête. Évidemment, tu savais de quoi parler ta grand-mère. Tes TOC. Ce mot, tu l’avais entendu pour la première fois chez le psychologue. Un drôle de Monsieur celui-là. Il avait prononcé ce mot comme si de rien n’était alors que toi, t’avais l’impression que ce mot avait une signification particulière. Ce mot expliquait tes faits et gestes qui paraissaient bizarres aux yeux de ta famille et de tes amis.
Part II. le travail, Milan.
L’amour. Tu as toujours cru que l’amour ne serait pas pour toi. Après tout, qui pourrait aimer une femme atteinte de TOC ? Pourtant, tu te trompais …
Octobre 2007. Tu venais d’obtenir une place au lycée Kelvin High en tant que bibliothécaire. Ce métier, ce fut comme une évidence pour toi. Durant ton enfance et ton adolescence, tu avais toujours eu ton nez fourré dans les livres. Les livres, ça te permettait de t’évader, tu avais l’impression de voyager, d’aller d’un monde à un autre. Parfois, tu arrivais à t’identifier aux différents personnages grâce à certains traits de caractère communs. Tu as vite voulu faire un métier qui tournait autour des livres et tu as fini par devenir bibliothécaire. C’était inévitable. « Non…Trop à gauche… » murmurais-tu. Dans tes mains, tu tenais la plaque sur laquelle était inscrits ton nom, tom prénom et ton rôle dans ce lycée. Heather Bowen, bibliothécaire. Cette plaque te rendait fière. Aussi fière qu’elle t’énervait en fait. Elle t’énervait, car cela faisait déjà cinq bonnes minutes que tu tentais tant bien que mal de la placer correctement sur ton bureau. Tu voulais qu’elle soit au milieu, mais, à chaque essai, t’avais l’impression qu’elle était trop à gauche ou trop à droite. Tu finis par tirer la langue comme un enfant lorsqu’il n’a pas ce qu’il souhaite. Tu portais pourtant tes lunettes, tu devais savoir la placer au milieu quand même ! Tu allais faire une nouvelle tentative lorsque tu remarques une silhouette à la périphérie de ton champ de vision. Un jeune homme se trouvait derrière la porte vitrée et te regardait. Constatant que tu l’avais remarqué, il entra. A peine installée et déjà quelqu’un venait te voir. Tu avais bien fait de nettoyer cette porte tout compte fait. « Mademoiselle... Bowen? » Tu hochas simplement la tête alors que le type se présenta comme étant Milan Hastings, professeur de français. Il te tendit la main et tu ne pus faire autrement que tendre la tienne également. Tout cela accompagné d’un sourire qui se voulait poli. Tu ne pouvais nier que tu étais légèrement gênée. Tu te présentas à ton tour. Il t’annonça que c’était avec toi qu’il devait discuter des livres. Les livres pour le programme scolaire. Tu allais donc travailler en étroite collaboration avec lui…
Début 2008. Tu travaillais à Kelvin High depuis plus d’un an. Bien des choses s’étaient passées depuis ton arrivée dans ce lycée. Au fil des mois, tu t’étais rapprochée de Milan. Vous étiez devenus des amis. Des amis proches en quelque sorte. Durant cette année, tu as également fait la connaissance de Jamie Powell, une professeur du lycée. Tu étais bien entourée, tu aimais aller travailler dans ce lycée et ce, malgré les TOC qui faisaient toujours partie de ta vie. Avec Milan, tout te semblait simple. Vous pouviez parler de livres durant des heures. Tu l’avais même convaincu de reprendre la direction de la chorale suite au départ de Monsieur Anderson. Tu avais dû insister un peu, mais Milan avait finalement accepté le poste. Et tu avais eu raison d’insister. Ce poste était fait pour lui. Notre amitié me convenait tout à fait même si… Ce fut en juillet 2008 que notre relation prit un autre tournant.
Juillet 2008. L’année scolaire touchait à sa fin. Cela signifiait deux moins de vacances. Deux longs mois de vacances. Tu n’avais pas forcément prévu de partir quelque part. En ce jour, tu avais parcouru les couloirs du lycée. Des couloirs déserts, plus aucun élève ne s’y trouvait. Tu t’étais arrêté devant l’une des immenses fenêtres qui donnaient sur la cour. Également déserte elle aussi. Cela allait te faire drôle de ne plus entendre les rires des élèves, de ne plus t’assoir à ton bureau durant deux mois. Cela allait aussi te faire drôle de ne plus voir Milan … Alors que tu étais dans tes pensées, tu entendis des bruits de pas. Tu tournas la tête et ton regard rencontra directement celui de Milan. Tu connaissais assez bien Milan pour savoir que son regard n’était pas celui de d’habitude. Il courut vers toi alors que toi, tu étais légèrement perdue devant le comportement du jeune homme. Alors que tu commençais à lui demander ce qu’il se passait, il posa son doigt sur tes lèvres pour te faire taire. Surprise, tu observas ce doigt quelques secondes avant de reporter ton attention sur Milan. . « Comment on fait, quand on apprécie quelqu'un énormément... mais qu'on ne sait pas si ça peut marcher, qu'on a peur de détruire tout ce qu'on avait? » La nervosité te gagna d’un coup. Tu savais parfaitement qu’il parlait de toi, c’était indéniable. Mais, tu ne savais pas quoi faire ni quoi dire. Pourtant, ce moment, tu l’avais imaginé, pensé depuis un certain temps. Finalement, tu lui répondis qu’il fallait essayer. Essayer durant l’été, durant plus longtemps … Seul l’avenir saurait le dire ça. Ses lèvres finirent par se poser sur les siennes et malgré la retenue dont tu faisais preuve, tu le laissas faire, savourant ce moment.
2009-2010. Tu étais heureuse avec Milan. Il était heureux avec toi. Tout allait pour le mieux. Malgré tes TOC, Milan était toujours là, bien présent. Tu t’étais installée chez lui, dans son appartement. Milan ne semblait jamais être dérangé par tes TOC. Il t’avait même dit qu’il aimait quand la vaisselle était faite, quand les livres étaient rangés par ordre alphabétique. La vie à deux était parfaite. Tellement parfaite que Milan et toi trouvâtes une maison dans une ville voisine. C’était le bonheur. Que pouvais-tu demander de mieux ?
2011 – mai 2012. Tu ne vas plus bien. Ca ne va pas. Quelque chose cloche. Tu n’es plus la même. Lors de ta dernière visite chez ton psychologue, celui qui te suit depuis ton enfance, il t’a conseillé de stopper ton traitement. Tu l’as écouté. C’était un spécialiste après tout. Tu n’aurais pas dû. Tes TOC t’ont de nouveau mené la vie dure. Encore plus dure qu’avant. Ca t’a découragée. Tu fus découragée de constater que tu n’arrivais pas à les gérer seule, sans traitement. Tu as essayé pourtant. Tu as essayé pour Milan. Tu lui devais bien ça après tout. Mais, tu ne le faisais pas vraiment pour toi. Ta motivation en a donc pris un coup. Sans vraiment le vouloir, tu t’es éloignée de Milan. Dans tous les sens du terme. Physiquement, mentalement, moralement. C’était le début de la fin.
Juin 2012. Ce qui devait arriver arriva. Milan finit par te quitter, te mettant à la porte de la maison dans laquelle vous résidiez. Tu t’énervas un peu, prétextant que tu n’avais pas besoin de ça en ce moment, mais c’était déjà trop tard. Les derniers mots que tu lui adressas furent « Je te déteste. » Pas très glorieux, mais qu’est-ce que tu pouvais faire d’autre ? Rien. Alors, tu partis, angoissée et mécontente envers Milan. La maison allait être vendue et toi, t’irais vivre chez Jamie. Milan l’avait prévenue. Sur le coup, tu trouvas ça très sympathique de sa part. Sur le coup. Par la suite, non. Enfin, au moins, Jamie t’accueillait. Tu n’étais pas sans toit.
Juillet 2012-Avril 2013. La vie chez Jamie s’était révélée être assez plaisante. Au départ pourtant, tu étais plus morose qu’autre chose. Au fil des jours, j’ai remonté la pente. Une pente douloureuse. C’était un peu comme une nouvelle vie, un nouveau départ. Un nouveau départ sans Milan. Ca te faisait mal au cœur, mais tu devais faire avec. Et tu fis avec. Tu as fini par prendre un petit appartement pas trop loin de chez Jamie. Seule et prête à rebondir, tu as repris ton traitement. Et tu as fini par te soigner. Tu as été plus forte que la maladie : tes TOC ne te pourrissent plus autant la vie, tu sais te contrôler, les contrôler. Bref, tout allait pour le mieux sauf qu’un jour, Jamie t’annonça qu’elle était malade, qu’elle avait un cancer et qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre. Cette nouvelle t’a anéanti. Pourquoi fallait-il que Jamie est un cancer ? Pourquoi elle ? Cela avait beau te rendre malade, tu ne pouvais rien y faire, rien y changer. A part soutenir Jamie, être à ses côtés.
Mai 2013. Jamie est décédée. Elle est partie, elle a quitté ce monde. Elle t’a légué sa villa. Une villa dans le quartier de Snowflake Lane. Léguée à Milan et à toi. Oui, elle a également inscrit Milan sur son testament. Tu as revu Milan le 03 mai exactement. Dans le bureau d’un notaire. Monsieur Chapman. En apprenant que tu étais avec Jamie lorsqu’elle est décédée, Milan fut surpris et t’annonça que tu aurais pu l’appeler. Comme si … Tu y avais pensé oui, et pourtant, tu ne l’avais pas fait. Jamie vous avait légué à toi et à lui sa maison. Une maison qui n'intéressait guère Milan. Toi, au contraire, elle te plaisait. Après tout, Jamie te l'avait léguée. Ce n'était pas pour la revendre ... Après discussion, il fut décidé que tu aurais un mois pour trouver un acheteur. Un mois, pas un de plus. Milan décida de rester avec toi dans la grande demeurer. La « tournée » des potentiels acheteurs commença alors. Tu fus souvent déçue par ces multiples rencontres. Bon nombre d’acheteurs désiraient purement et simplement changer l’âme de la maison, la transformer en hôtel ou autre du genre. Ce que tu ne voulais absolument pas bien entendu. Entre temps, tu t’étais rapprochée de Monsieur Chapman, de Mike. Un charmant jeune homme, bien sous tout rapport. Bien que vous vous soyez embrassés, tu ne te considères pas en couple. Non, tu n'es pas en couple. Milan est toujours dans ta vie, tu ne peux le nier. « Quand je rentre le soir, je n'ai qu'une envie, c'est de te raconter ma journée, t'embrasser, te serrer dans mes bras et ressentir cette chose que j'ai jamais été foutu de ressentir pour qui que ce soit d'autre. » Voilà ce que Milan t'a dit récemment. Comment peux-tu ignorer cela? Non, tu ne définitivement pas le nier. Alors, poussée par tu ne sais quoi, tu as postulé pour revenir travailler à Kelvin High. Pour voir encore plus Milan? Possible.
Et sinon, moi c'est Bakinette ou mightybare, j'ai en réalité vingt-deux ans et j'ai connu le forum via Pearl Trees. Ceci est mon PREMIER COMPTE. Mon petit mot de la fin? je vous aime pas .
Dernière édition par Heather R. Bowen le Lun 20 Jan - 18:23, édité 23 fois
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Jeu 2 Jan - 17:55
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ENFIN TE VOILA en plus tu vas rendre Mimi heureux donc tout le forum heureux Welcome parmi nous Bonne chance pour ta fiche, si tu as une question, le staff est là. c'est cool, nous aussi on t'aime pas -sbaff-
Invité
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Jeu 2 Jan - 17:59
Owaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Nayounette la chaussette en Heather !!!! Je suis trop contente que tu l'aies prise, en plus Mimi, c'est mon prof préféré alors t'as intérêt de bien le traiter !
Bref, à part ça, bienvenue parmi nous ! Et arrête de mentir, on le sait que tu nous aimes.
◗ CELEBRITE : Joseph Gordon-Levitt ◗ CREDITS : Nepenthès ◗ ÂGE : 42 ◗ STATUT : Célibataire ◗ EMPLOI, ETUDES : Professeur de littérature au lycée Kelvin High School, animateur de la chorale du lycée ◗ ADRESSE : 100 snowflake lane, Winnipeg ◗ MESSAGES : 1853 ◗ POINTS : 4609 ◗ CURRENTLY : (+) harper
i need to know that you're not gonna wake up in the morning and feel differently. i love how you makes me feel, like anything's possible, or like life is worth it. dying by your side is such an evenly way to die.
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Ven 3 Jan - 12:23
Qu'est-ce qu'elle est beeeeeelle ma Heather merci merciiii de la prendre je suis aux anges Si tu as la moindre petite question je suis tout à toi oui oui
Spoiler:
Invité
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Ven 3 Jan - 14:32
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Mer 8 Jan - 16:30
Bien sûr choupette Je te rajoute jusqu'à dimanche soir, mais si tu penses avoir besoin de plus de temps dis-nous
Invité
Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Dim 19 Jan - 19:37
c'est moi alors, je suis revenue de mon week-end. par contre, est-ce possible que je puisse poster la fin de ma fiche (il ne me reste plus que quelques lignes à rédiger) demain? ce soir, je vais me reposer, je suis naze. si pas, je comprendrai.
◗ CELEBRITE : Joseph Gordon-Levitt ◗ CREDITS : Nepenthès ◗ ÂGE : 42 ◗ STATUT : Célibataire ◗ EMPLOI, ETUDES : Professeur de littérature au lycée Kelvin High School, animateur de la chorale du lycée ◗ ADRESSE : 100 snowflake lane, Winnipeg ◗ MESSAGES : 1853 ◗ POINTS : 4609 ◗ CURRENTLY : (+) harper
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Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise. Mar 21 Jan - 19:17
félicitations, ta fiche est validée!
Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même en DEMANDANT UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre événement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!
ma heatheeeer je vais te mpotter de ce pas pour parler de deux trois trucs
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Sujet: Re: heather ∞ un jour j'suis née, depuis j'improvise.