charlie ♦ KISS KISS BANG BANG.

Sujet: charlie ♦ KISS KISS BANG BANG. Mer 20 Fév - 8:41

charlie dakota o'marshall

Je m'appelle Charlie D. O'Marshall et j'ai 21 ans, puisqu'en effet je suis né(e) le 12 février à New-York, États-Unis. Ma situation sociale est actuellement très aisée et j'habite à Snowflake Lane depuis 10 ans; j'y suis étudiante en médecine et j'habite seule. Niveau amour, je suis actuellement célibataire mais pas insensible face à un con et d'ailleurs, je suis hétéro. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un un scénario et c'est Kristen Stewart qui me prête son joli minois.

impulsive ♤ franche ♤ intelligente ♤ autodestructrice ♤ impulsive ♤ têtue ♤ instable ♤ chiante ♤ peste ♤ arrogante ♤ fétarde ♤ a en réalité un bon fond ♤ jalouse ♤ lunatique ♤ infidèle ♤ irresponsable ♤ sensible ♤ ne veut pas entendre parler de l'amour ♤ passe ses nuits entières dehors sans pour autant être fatiguer la journée malgré ses études difficiles ♤ rancunière ♤ maladroite ♤ (15 minimum)

THEY ARE IN LOVE	THEY LIVE TOGETHER
THEY ARE A FAMILY	THEY LIVE ON THEIR OWN

tell me your secrets

12 Février 1992, New-York, États-Unis.
Il faut bien naître un jour, et moi il se trouve que je suis arrivée sur Terre le douze février mille neuf cent quatre vingt-douze. Mes parents étaient heureux d’avoir enfin un enfant, cela faisait longtemps qu’ils essayaient sans succès, alors imaginez leur joie quand j’ai pointé le bout de mon nez. Mais il trouve que leur bonheur fut doublé lorsque ma mère apprit à ses quatre mois de grossesse qu'elle attendait des jumeaux. Oui, donc moi et Robin étions frères jumeaux. Et comme explique certaines personnes, lui et moi étions vraiment liés, jamais l'un sans l'autre. Il était parfait et je l'aimais plus que tout.
J’ai grandi à New-York, ou communément appelée la Grosse Pomme, vous savez la fameuse ville qui est presque considéré comme la capitale des États-Unis. New-York, ou la ville du rêve américain. J’ai toujours adoré cette ville, je me souviens les journées à me promener à Central Park, très jeune déjà, j’étais attiré par la nature, elle me fascinait, en grandissant ça n’a pas changé, en plus de mes études je faisais beaucoup de photographie d'où mon contact avec la nature et le monde extérieur. J’étais au paradis, je ne me suis jamais vraiment entendu avec les jeunes de mon âge, j’ai un tempérament assez affirmé, je sais qui je suis et où je vais, et ça ne plait pas à tout le monde, du coup je me suis tourné vers Mère Nature, elle au moins elle m’accepte comme je suis. Mais ma plus grande passion reste la musique dont je fus bercée toute mon enfance. Malgré mes parents étaient totalement contre le fait que j'écoute de la musique - en particulier du rock - cela ne m'a jamais empêcher de faire ce que je voulais sur ce côté là. Sinon, pour mon âge, on va dire qu'on vivait plutôt bien. Trop bien à mon goût aujourd'hui. Malheureusement, lorsque j'étais trop jeune, je ne me rendais pas compte à quel point mes parents m'avaient déjà aveuglé par l'argent. D'ailleurs, en parlant d'eux.. Ils étaient des gens très respectables et respectés à New-York. Hommes d'affaires, ils avaient bien gagné leurs vies et ils en profitaient beaucoup. L'argent coulait à flot à la maison et mes géniteurs ne se privaient de rien.. La famille parfaite, la maison parfaite, la voiture parfaite, les boulots parfaits, le jardin parfait, la piscine parfaite. Mais ce que les gens ne savent pas c'est que ce ne sont que de simples illusions.

Lorsque j'avais dix-ans, avec mon père et mon frère, on attendait patiemment l'anniversaire de maman. Mon père et Robin complotaient dans son dos et comme la solidarité masculine le veut, ils ne voulaient pas m'en parler. Déjà très têtue à mon âge, j'avais insisté jusqu'à ce que Robin crache le morceau en m'expliquant qu'ils partiraient lui et papa en voiture pour trouver un cadeau à maman. Il a précisé que ce serait le plus beau cadeau du monde mais que je ne devais pas en parler. Ils m'avaient chargé de la mission d'occuper maman pendant toute cette soirée pendant qu'ils sortiraient prendre la voiture pour aller chercher le cadeau lui-même. Fièrement, j'avais accepté de me charger de cette tâche.
Pendant cette fameuse soirée, j'étais tellement excitée que ma mère me posait trop de questions à leur sujet, elle voulait savoir pourquoi ils étaient partis et où étaient-ils allés. Maligne comme j'étais, je n'avais rien dis, comme promis avant de me jeter dans ses bras et de l'embrasser très fort en lui précisant qu'ils rentreraient vers onze heures du soir. Ma mère avait sans aucun doute comprit notre petit manège car elle n'insista pas. Me prenant dans ses bras, on s'installa devant la télé toute la soirée.

Les images désuètes d'un vieux film en noir et blanc défilaient sur l'écran de la télévision et sur la table de nuit, les aiguilles phosphorescentes de la pendulette indiquaient minuit moins dix.. Charlie était déjà partie dans les bras de Morphée juste à côté de sa mère, sur le canapé tandis que celle-ci commençait à s'inquiéter. Un calme absolu régnait dans l'appartement, un silence irritant qui la rendait nerveuse. Voyons.. Ils avaient promis de rentrer à onze heures. Une heure du matin et toujours rien, sa nervosité céda place à une sombre appréhension. Passant outre ses réticentes, elle s'apprêtait à saisir le téléphone quand celui-ci se mit à sonner, à une heure et cinq minutes précises. C'était sans doute, eux ! Elle imaginait parfaitement son fils au bout du fil lui indiquant qu'ils n'étaient pas très loin et lui chantant Joyeux Anniversaire. Elle décrocha alors d'un geste énergique. « Allô, je suis bien chez les O'Marshall ? » Une voix étrangère. Lointaine. Un inconnu.. Qui pouvait essayer de la joindre à une heure si tardive ? Un mauvais numéro ou une personne faisant une blague sans doute.. « Oui.. Qui est à l'appareil ? » Soudain, la peur lui souffla son haleine glacée le long de la colonne vertébral. « Police routière.. Vous êtes bien madame O'Marshall ? » La gorge serrée, de plus en plus, elle répondit. « Oui.. ». « Désolé madame O'Marshall.. Votre époux et votre fils ont eu un accident de voiture. Votre époux n'a quelques blessures superficielles, sa vie n'est pas en danger contrairement à votre fils, Madame. Une ambulance l'a transporté à l'hôpital, il est grièvement blessé. Ils ont été heurtés de plein fouet par un véhicule venant en sens inverse. Veuillez vous rendre à l'hôpital de toute urgence ! ». Choquée, elle essayait de garder équilibre sur ses jambes flageolantes pour ne pas tomber dans les pommes ou bien faire une crise cardiaque. Rapidement, elle réveilla Charlie par le bruit des sanglots qu'on pouvait entendre alors qu'elle enfilait des chaussures. La petite fille ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait à cet instant mais à cet âge-là voir sa mère dans un état pareil est la pire des choses qu'un enfant puisse subir. « Maman, pourquoi tu pleures ? », lui demanda-t-elle en enfilant aussi une paire de chaussures et en se faisant traîner par les bras en dehors de la villa luxueuse. Sa mère et elle grimpèrent dans la voiture avec le seul bruit assourdissant des larmes de la jeune mère qui conduisait en direction de l'hôpital. « Charlie, papa et Robin ont eu un accident de voiture sur le pont de Brooklyn.. Je ne sais pas si tu vas comprendre ce que je vais t'expliquer mais ma chérie, Robin va peut-être partir.. Et il ne reviendra pas, ma puce.. » expliqua sa mère en éclatant en sanglots de plus en plus fort cette fois-ci. Mais malgré son jeune âge, Charlie comprenait parfaitement la situation et assise à l'arrière, regardant par la vitre en repensant à son père maintenant défunt, ses yeux commencèrent à se remplir petit à petit de larmes.. A l'hôpital, après de longues heures passées au côté de Robin, inconscient dans son lit, il y laissa la vie vers sept heures du matin. Son cerveau avait été touché et il n'y avait plus rien à faire pour lui. Ainsi, le jeune enfant mourut devant les yeux de ses parents et sa sœur jumelle, désemparés et impuissants face à la situation. Finalement, Charlie n'aura jamais su de quel cadeau il s'agissait pour ce triste jour d'anniversaire. « Charlie, regarde moi dans les yeux, s'il te plait.. Promets-moi de ne jamais baisser les bras et d'être forte pour toujours. ». Charlie lui promit, elle n'avait pas vraiment le choix.

Un an plus tard, je suis âgée de onze ans. Et c'est au cours de cette année que mes parents décide de déménager et fuir New-York, cette ville remplis de mauvais souvenirs et d'amertume. Le plus choquant dans tout ça ? Mes parents ont totalement oublié Robin, ils se voilent la face et font comme s'ils ne s'étaient rien passés. Ils prétextent que mon père soit muter dans une autre ville et redeviennent comme avant : obséder par le travail. Nous voilà donc partis pour le Canada où nous nous installons dans une villa immense, beaucoup trop grande pour seulement eux et moi, à Winnipeg dans le quartier de Snowflake Lane. Et c'est ainsi que ma vie reprit son court "normal", rentrant à nouveau dans la routine malgré l'absence de mon frère jumeau. Seule et solitaire, j'apprenais à jouer de plusieurs instruments, développant doucement une vraie passion pour la musique. Je me sentais seule oui, et à cet âge-là, je manquais cruellement d'affection ce qui n'arrangeait pas vraiment les choses. C'est sûrement d'ici que me vient mon caractère assez trempé. D'ailleurs, un médecin m'avait même soupçonner de bipolaire étant donné mes changements d'humeur brutaux. Durant mon adolescence, j’eus énormément d'amis ( mais la plupart étaient faux, il n'y avait que la popularité qui comptait à l'époque) et mais très peu de petits-copains. A quoi bon s'attacher si finalement, on doit perdre la personne ou celle-ci nous trahit dans on a le dos tourné ? Durant cette période, je commençais à découvrir les vraies soirées où je me rendais pour découvrir l'alcool et la drogue. J'avoue en avoir consommé très jeune certes mais je n'étais pas du tout accro. Je prenais de temps en temps histoire de me détendre et faire la fête car oui, fêtarde dans l'âme, je ne laissai jamais une occasion de faire la fête ! Mais la musique continuait de se développer comme une vraie passion, une raison de vivre. C'était mon échappatoire en quelques sortes. Cependant, pour ne pas décevoir mes parents une nouvelle fois, je suis obligée de poursuivre les études qu'ils choisissent pour moi : des études de médecine. Les études les plus longues et les plus difficiles, soit. C'est ainsi qu'une fois mon diplôme en poche, j'entame ces fameuses études dans lesquelles je me débrouille plutôt bien contre mon gré. Je suis en quelque sorte prisonnière de mes parents et de leur choix, je dois toujours être parfaite et comme ils le souhaitent.

Le jour de mes dix-neuf ans, je reçois sans doute le meilleur de mes cadeaux d'anniversaire. Mes parents m'offrent les clés d'un loft qu'ils viennent d'acheter. Sans qu'ils le remarquent, j'échappe, d'une certaine façon, de fuir la prison dorée qui me retenait. Plutôt satisfaite, c'était pour moi un pas de plus vers l'indépendance. Je continue donc de mener ma vie tranquillement entre soirées de fils à papa, des tonnes de billets et des faux amis aussi superficiels les uns que les autres.
Puis, un jour, je fais la rencontre d'un mec. D'un con. Ouais, mais je m'y suis attachée à cet emmerdeur et ça me fait mal de le dire. Il m'est tombé dessus sans prévenir. C'était un jour normal mais je m'en souviens comme si c'était hier. Un jour comme les autres où je me lève un peu en retard pour me rendre à l'université. En cours de route, j'aperçois un Starbuck où je décide de faire un tour rapidement puis le con se trouvait là, au comptoir. Il était à moitié endormi, j'étais pressée et de mauvaise humeur, vous voyez le rapport maintenant ? Naturellement, je lui tapote l'épaule. Et sans y aller de main morte. « Allez-y mollo, vous allez finir par m'arracher le bras. Bon alors, vous prendrez quoi ? » J'arquais donc un sourcil en le regardant de mon air hautain dont j'avais l'habitude, le toisant. Après quelques secondes de réflexion, je lui demande de se dépêcher de me servir un café. Après avoir été servie, je l'entendis se parler à lui même. Bouillonnant de rage, je n'hésite pas une seconde à m'approcher de lui pour lui balancer mon café très chaud sur la tête, jetant le gobelet sur le comptoir au passage et m’enfuyant pour le laisser. « La chica muy guapa te dit d'aller te faire voir espèce de con. » Emmerder l'emmerdeur du jour, fait ! Mais je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il me pourchasse dans la rue. Il réussit à me rattraper et à m'arrêter, et je remarquais dans ses yeux qu'il était lui aussi énervé. Il s'excita sur moi sans que je l'écoute vraiment. Mais je compris à ce moment qu'il me tenait tête. Qui ose tenir tête à moi, Charlie O'Marshall ? Haussant les épaules d'un air las, je lui montre mon majeur, signe obscène pour l'envoyer bouler. Puis, tout se passe vite. Il me prend par la taille, m’emmène de force une nouvelle au Starbuck pour me forcer à nettoyer le café dégoulinant sur le sol. Tentant une seconde fois de m'échapper, il se met en travers de mon chemin et me voilà par terre à essuyer mon petit carnage quotidien. Bref, ça c'était ma première rencontre avec Silas. Ce gars, je l'aime tellement fort, du coup je me suis attachée à lui même si je le renie totalement devant les autres. Mais il m'écoute, il est toujours là pour moi quand j'en ai besoin contrairement à moi. Je sais qu'au fond il veut que je l'accepte comme il est. Mais pour l'instant, c'est impossible. C'est simplement qu'on est pas du même monde.

Et sinon, moi c'est VOTRE PSEUDO, j'ai en réalité VOTRE ÂGE et j'ai connu le forum MANIERE DONT VOUS AVEZ CONNU SL. Ceci est mon PREMIER COMPTE, DEUXIEME COMPTE, TROISIEME COMPTE?. Mon petit mot de la fin? PETIT MOT DE LA FIN.

Stewart²

Welcome
Bonne chance pour ta fiche. Pour le moindre soucis, n'hésites pas

Bienvenue et have fun hug

Charlie quel joli prénom bave

bon courage pour ta fiche & le rôle, si tu as la moindre question n'hésite pas à contacter le staff awn

Stewart + le prénom OMG

Bienvenue sur le forum I love you

bienvenue à toi !
excelant choix de scénario vraiment I love you

si tu as la moindre question , n'hésite surtout pas I love you

Oh, merci de l’accueil de fou ! Je vous aime déjà les kikis.

Je n'ai qu'une chose à dire..

Spoiler:

Charlie charlie charlie avec KSTEW, un délice pour les yeux et pour les oreilles awn

Je suis sur un nuage, un petit nuage duveteux avec le visage de Krikri d'amour partout siffle

Bienvenue parmi nous, éclate toi bien sur ce forum qui défonce les gaines de ma grand-mère - sexy quand même la gaine, on parle de ma grand-mère naméo siffle

- Garde moi un lien d'accord ? Tu ne pourras pas m'échapper waza

Bon courage pour ta fiche & pour le rôle :D

KSTEW KSTEWWWWWWWWWWWWWWWWWW bave

Méga gros bienvenue à toi par ici! Si t'as besoin d'un tour de la ville, call me oh yeah

Bienvenue et merci de ton inscription awn

Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à envahir ma boîte MP ;)
Bon courage pour ta fiche :)

OMG, pincez-moi ou je rêve.
Vous êtes tous trop gentils, des sucres. J'vous mange tous, les kikis. Et j'veux des mégas liens avec tout l'monde !

Silas approves cette fichounette du tonnerre de dieu
J'adore l'histoire et comment tu as pris possession de Charlie hug

Merciiiiiii, mon kiki !
J'ai voulu te vendre du rêve.

Tu y es arrivée ma chica muy guapa bave

Si c'est aussi bon pour Silas, tout est parfait awn

et au passage, il nous faudra un lien de fifou parce que genre Albane et Charlie ont plein de points communs, et je kiffe ton perso bave

BREF!

(je te valide comme le délai est dépassé pour l'autre Charlie ^^)

félicitations, ta fiche est validée!

Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre évènement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. En revanche, si tu es curieux, n'hésite pas à lire LA RUBRIQUE DE TARA, notre chère journaliste locale se fera un plaisir te tenir au courant. Une dernière chose, viens poster ton FORMSPRING et poser des questions à tout va pour encore plus de fun! Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!

Sujet: Re: charlie ♦ KISS KISS BANG BANG.

» CHARLIE ♦ nobody breaks my heart.
» (+) kiss me like you wanna be loved.
» And of all these things I’m sure of I’m not quite certain of your love ✺ charlie
» CHARLIE ☇ too cold outside for angels to fly.
» I’m nobody’s little girl... || Charlie A. Momsem

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