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 L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]

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MessageSujet: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyDim 21 Juil - 20:28

Dans la bibliothèque de l'université. Bryan y allait souvent pendant ses heures de libre. C'était l'un des seule endroit tranquille où il pouvait révisé. Car ses frères étaient à la maison et avec le bruit qu'ils font devant leur match ou avec des filles qu'ils ramènent à la maison, impossible de travailler. Il pouvait travailler chez lui, mais il avait peu de temps avant que ses frères rentrent à la maison. Dans ces cas là, Bryan pourrait aller à la bibliothèque de la ville, mais il se faisait tard et elle était fermé. Alors il en profitait le plus possible de ses temps libre à l'université, dans la bibliothèque pour être tranquille.

Bryan avait une rédaction sur la France pour son cour de français à rendre dans les prochains jours. Il savait que chez lui, il n'avait pas grand chose à part internet, mais Bryan se méfier toujours de sa fiabilité. Car sur internet tout le monde peu écrire n'importe quoi. Les livres ne sont pas écrit par n'importe qui. Il se mit alors à chercher les livres dont il avait besoin. Il commença par les livres en français, il en prit trois puis passa à l'histoire. Une fois dans le rayon, il chercha ses livres mais à travers l'étagère, il vit une fille blonde qui avait beaucoup de mal à attraper un livre. Il posa le livre qu'il avant dans sa main dans sa pile puis alla voir cette fille. Cette fille blonde avait un côté sage qui lui faisait penser à un ange, mais encore une fois, Bryan préférait rester assez loin de toute nouvelle relation. Il se mit derrière la fille. "Quel livre veux-tu prendre ?" Lui demanda-t-il doucement, car dans une bibliothèque, il fallait être silencieux. Une fois qu'elle lui indiqua le livre, il le prit et le donna à la jeune adolescente avec un sourire sincère. Il se mit à regarder ses yeux comme il faisait d'habitude et vit qu'elle avait les yeux magnifiquement vert. Lui les avait bleu, comme son frère Aaron.
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyDim 21 Juil - 22:01


Where It all began...

Bryan && Bridget




Je devais être la seule étudiante de mathématique à trainer dans le département historique de la bibliothèque. Bien que j’aie toujours adoré les chiffres et résoudre des problèmes hypothétiques avec des chiffres et des variantes inconnues mais je dois admettre que j’ai prit un cours supplémentaire d’histoire européenne pour le plaisir. L’école m’avait toujours plu et ça m’aidait à me détendre pendant mes crises. Après mon cours de calcul différentiel, je me suis précipitée vers la bibliothèque. C’était un endroit que j’appréciais puisque ça m’évitais d’avoir des contacts interpersonnels avec d’autre étudiant. Avec ma… condition, c’était assez difficile d’entretenir des relations même qu’amical avec d’autres étudiants. Normalement, j’arpentais les rayons, ramassait quelques livres et quittait l’université pour retourner chez Gabriel.

Aujourd’hui, comme à mon habitude, je trainais dans les rayons du département d’histoire. J’avais envie de prendre un peu d’avance et de commencer le chapitre sur l’Angleterre avant la semaine suivante. Je me suis arrêtée devant une étagère où, selon la vielle bibliothécaire, se trouvait les livres dont j ‘avais besoin. J’ai lu à mainte reprise les inscriptions sur le petit bout de papier que m’avait tendu Mme. Wints pour finalement lever les yeux et voir les chiffres en question. Me hissant sur la pointe des pieds, j’essayais, en vain, d’attraper le bouquin. J’étais à quelques centimètres de frôler la couverture du bout des doigts lorsqu’une voix masculine m’interpela. Je me suis retourné pour croisé le regard bleu glacé d’un inconnu. J’ai rapidement baissé la tête m’agrippant le bras.

«Le… euh… la monarchie Anglaise…» murmurai-je alors qu’il se pencha vers moi pour prendre facilement le livre qu’il me fallait. Il me le tendit et lorsque je lui pris des mains, mes doigts frôlèrent les siens. J’ai eut un mouvement instinctif de recul me heurtant à l’étagère.  «Je… merci.» J’ai levé les yeux vers les siens pour le gratifier d’un sourire timide. Je serrais alors le livre contre ma poitrine avant de baisser les yeux. J’ai ensuite fait quelques pas à côté du jeune homme. «C’est… c’est gentil.»
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyLun 22 Juil - 16:50

Bryan eu un sourire attendri lorsque la jeune fille parlait. Autant, Bryan attirait les filles sûre d'elle, voir un peu trop, autant il préférait être en compagnie de cette jeune femme. Elle n'avait vraiment rien à voir avec ces filles qui avait pour but de le draguer. Non, cette jeune femme était timide, surement peu sûre d'elle. En faite, il serait largement plus attirait par une fille qui ne lui saute pas directement. Mais il préférait quand même prendre ses distances avec toutes les filles, qu'ils restent juste ami et s'il commence à tomber amoureux, il s'éloignera d'elle. Il continua de lui sourire gentiment. "Tout le plaisir était pour moi." En réfléchissant un peu mieux à cette phrase, il comprit qu'il ne fallait pas la dire de travers et pour rien. Mais là pour le coup, il ne mentait pas, tout les garçon adorent sauver des jeunes femme en détresse. Cette fille aurait pu renverser l'étagère sur elle en voulant monter dessus, donc il lui a clairement sauver la vie. Mais Bryan n'était pas quelqu'un qui prenait la grosse tête. A vrai dire dans sa vie, il n'était fier de rien. Il l'avait vu reculer lorsque leurs doigts s'étaient frôlés, c'était le genre de réaction que Bryan devrait avoir avec tout le monde. Il ne voulait pas s'attacher aux autres, fille ou garçon, car avec n'importe qui, il aurait peur de la perdre s'il s'y était attaché. "Il te faut un autre livre ?" Lui demanda-t-il près encore à lui rendre service sans problème. Il se mit à la regarder dans les yeux pour connaitre sa réponse, voyant qu'elle s'était rapproché de lui.
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyLun 22 Juil - 23:11


Where It all began...

Bryan && Bridget




Le sourire du jeune inconnu fit rosir un peu plus mes joues. C’était la première fois qu’on me regardait comme ça, enfin… mis-à-part mon père et Gabriel. Mon regard avait peine à soutenir le sien. Soudainement, mes souliers devenaient tristement intéressants. Je balbutiais quelques faibles remerciements me maudissant aussitôt d’avoir ouvert la bouche. J’avais définitivement du mal avec les gens gentils, surtout lorsqu’ils viennent du sexe opposé. J’avais peine à garder un contact visuel avec ses grands yeux bleus sans sentir le visage me prendre en feu. J’étais incapable de bouger, dépassée par les évènements et par la proximité de nos deux corps. Un faible sourire se traçait sur mon visage alors qu’il prit la parole de sa voix grave. Il me demandait si j’avais besoin d’autres bouquins. Un signe négatif frénétique de tête était la seule chose que je pouvais faire. Évidemment qu’il me fallait d’autres livres, je ne pouvais pas baser mes recherches sur une seule source ! J’ai glissé nerveusement une main dans mes longs cheveux blonds échappant le livre à mes pieds. J’ai levé les yeux au ciel avant de me pencher pour le récupérer. Je l’ai attrapé du bout des doigts pour me redresser rapidement vers lui. «Je… euh…» j’ai soupiré. Quelle idiote ! Même pas fichu d’enligner deux mots à la suite de l’autre. J’ai pris une grande inspiration. «Je crois que c’est bon pour… pour l’instant.» Un faible sourire se traçait sur mes fines lèvres et je me glissais entre l’étagère et lui pour me reculer légèrement. «Je… à qui dois-je dire merci ?» Ma voix était faible, à peine perceptible. En même temps, dans une bibliothèque, c’était quelque chose de tout à fait normal. L’allée était complètement vide et il n’y avait que six autres étudiants avec nous dans la bibliothèque. En attendant qu’il se présente, j’ai levé les yeux, une nouvelle fois, en sa direction.
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyMar 23 Juil - 19:56

A sa question, la jeune femme lui répondit de la tête, ou ne se contenta que de ça. En tout cas, il avait remarqué sa gêne. Alors que généralement, c'était lui qui était gêné. Surtout quand la fille avait les mains baladeuses. Avec cette fille, les rôles s'inversés complètement, et Bryan pouvait enfin être normale en compagnie d'une fille. Il n'était pas gêné, ni timide et encore moins mal à l'aise et ça le changeait beaucoup. Enfin, elle n'était pas la jeune fille avec qui Bryan se sentait bien. Il y avait Delilah. Plus vielle que lui, de quatre ans seulement, mais elle était tellement belle. Mais il n'avait aucune chance, il en était sûr et certain. Et puis, il s'était dit qu'il ne devait pas s’intéresser aux filles ou juste être ami. C'était de la faute de sa stupide maladie. Elle lui gâchait la vie. C'était une peu de sa faute si Bryan n'était pas comme ses frères et qu'il ne sera jamais comme eux. C'est alors que la jeune femme lui demanda comment s'appelle-t-il. "Bryan. Et à qui ai-je rendu service ?" Demanda-t-il en retour doucement avec ce même sourire polie mais qu'il le rendait à croquer. Son sourire était vraiment magnifique. Il le tenait de sa mère surement, car elle était magnifique d'après les seuls souvenirs de Bryan. Malheureusement pour lui, il y a quelque mois, Bryan avait perdu sa mère dans un incendie. Parmi ses frères et sa soeur, Bryan était le seul à souffrir de leur mort. Surement parce que le père buvait trop, beaucoup trop et que la mère en souffrir et que c'était à Aaron, le plus grand, d'élever et de rendre fort ses frères et sa soeur. Bryan avait toujours été quelqu'un qui n'aimait rien dire de lui, mais depuis la mort de ses parents, s'était encore pire et même sa soeur, avec qui il était très proche, s'en rendait compte. Enfin bref, le Bryan avait eu une sale vie mais continuer de sourire comme si que la vie était belle.
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyDim 4 Aoû - 16:55


Where It all began...

Bryan && Bridget




Le jeune inconnu semblait aussi mal à l’aise que moi. C’était la première fois que je rencontrais quelqu’un qui avait l’air aussi gêné que moi lorsqu’il s’agissait d’interagir avec les représentants du sexe opposé. Etonnamment, le malaise du jeune homme s’évapora rapidement ce qui a été tout autant surprenant. Normalement, lorsque genre de situation ce produit, j’attends que le lourd silence fasse son travail et n’attire l’autre personne vers une interaction plus agréable. Avec lui, c’était différent. Il ne semblait plus du tout gêné de mon silence et de mes malaises. Il restait là, planté, à être complètement adorable et attentionné alors que j’essayais de ne pas m’enfuir en courant. Le fait qu’il me dépasse de près de deux têtes n’aidait en rien non plus mon malaise quant à la situation dans laquelle je me trouvais. Dans ma situation, avec ma maladie, il devient difficile de garder le contrôle de soi-même et d’agir de son propre gré. En ce moment, je remerciais le ciel d’avoir fait en sorte qu’aujourd’hui n’était pas un jour pour l’intervention de ma bipolarité me faisant devenir l’Autre. Le jeune homme se présenta venant ainsi, encore une fois, brisé le silence qui commençait à peser. Bryan. C’était un joli prénom : Bryan. Puis, par politesse – j’imagine – il me retourna la question. Pendant quelques secondes, j’avais oublié quel était mon prénom. Un éclair de panique traversa mon esprit alors que je cherchais désespérément dans mes souvenirs de quel nom m’avait affublé mes parents. H… Hope ? Non, c’était mon deuxième prénom, je ne pouvais quand-même pas me présenté avec un deuxième prénom ! J’ai prit une grande inspiration lorsque ça m’a frappé. «Bridget !» m’écriai-je alors. La réaction du jeune homme me fit réalisé que mon résonnement avait dépasser les barrières de mes lèvres. Je me suis alors recroqueviller agrippant chacun de mes bras avec la main qui leur était opposé. «Je veux dire… je m’appelle Bridget.» ma voix était redevenue douce et aussi silencieuse que le souffle du vent. Parfois, je me demande pourquoi je n’arrive pas à être normal. Le livre toujours serré contre ma poitrine, je me suis empressée de tourner les talons et partir dans un autre rayon. 
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MessageSujet: Re: L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan]   L'histoire de France ne peux pas être aussi compliquer que celle du Canada, si ? [Bridget & Bryan] EmptyDim 11 Aoû - 22:19

Bryan du attendre un petit moment avant d'avoir la réponse de la blonde. En attendant, il l'observait pour savoir ce qu'il pouvait bien prendre ce temps pour juste lui dire son prénom. C'était rare que Bryan oublier son prénom face à quelqu'un qui lui plaisait, mais il balbutiait sans aucun doute. Et lorsqu'elle dit enfin son nom, elle le dit un peu un criant ce qui fit sursauter Bryan mais cacha son sourire amusé. Vraiment adorable, pensa-t-il, enfin il tombait sur une fille qui ne voulait pas lui sauter dessus. Mais elle se reprit plus doucement cette fois-ci. Alors qu'il allait lui tendre la main pour lui dire qu'il était content de la rencontrer, elle partit de l'autre côté. "Enchanter" Dit-il pour lui même en l'ayant suivit du regard. Il haussa les épaules, mais préféra ne pas l'effrayer d'avantage. Il retourna prendre ses livres et partit dans le rayon histoire pour voir s'il avait tout ce qu'il faut. Ensuite, il chercha une table de libre et heureusement pour lui, il en restait une seule. Il s'y installa. Aller sur d'autre table voudra dire se socialiser et Bryan ne veux pas. Il suffirait qu'il croise le regard d'une personne pour qu'il se sente coupable de la tuer.
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