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 Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni

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MessageSujet: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyMer 3 Juil - 20:38

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Tic. Tac. Tic. Tac. Tic. Tac. Tic. «TAAAAC » hurlais-je en me prennant violemment la tête entre les mains. Putain de merde mais qu'est-ce qu'elle fou ?! Je regardais l'heure encore une fois. 12h11. Cela ne faisait qu'une seule minute. Cela ne faisait qu'une seule putain de minute depuis que j'avais regardé ma montre et j'avais l'impression que sa faisait des heures, des heures et des heures. J'en était malade. Je n'étais pas très patient habituellement.. sauf avec Charlie peut-être, elle m'aidait dans un sens à contrôler mon mauvais caractère. Mais ma patience avait des limites. Et Sarah venait de dépasser cette fichu limite. Depuis 3h00 putain d'heures déjà. Je soufflais violemment, m'arrachant presque les cheveux. Finalement je me levais de mon canapé comme si celui-ci m'avait brûlé. Je me rendis dans la cuisine et me servit un très graaaand café. Il fallait que je me calme.. il fallait que je me calme avant de sortir de cette maison et d'aller fracasser sa porte d'entrée. Cela faisait à peine 2 semaines qu'elle était revenue, et elle me mettait déjà à bout. Dans un sens, j'aurais dut être habitué depuis le temps. Sarah n'a jamais sut être à l'heure. Même lorsque nous étions enfant. J'avais pris l'habitude de l'inviter à la maison 30 minutes avant les autres. J'avais pris l'habitude de régler son réveil plus tôt pour qu'elle arrive à l'école à l'heure. Mais elle n'avait jamais était en retard à ce point-là. Je poireautais dans mon salon depuis quatre heures. QUATRE HEURES ! Et bien sur, elle n'avait ni répondu à mes appels, ni répondu à mes messages. Pourquoi l'aurait-elle fait ?! Je triturais mon portable, le faisant glisser entre mes doigts, appuyant parfois sur la touche du milieu afin d'illuminer l'écran.. Rien, toujours pas de nouvelles et cela commençait à m'inquiétait. Peut-être qu'elle avait réellement un problème ? Peut-être qu'elle était en retard pour une bonne raison. Peut-être que ce n'était pas sa faute. Je me mordis la langue, réfléchissant à ce que j'étais censé faire. Rester ici et l'attendre. Partir et me rendre chez elle. Prévenir les pompiers et la police ? Je connaissais Sarah et ses excès. Et si elle faisait une overdose ? Et si elle faisait un coma éthilique ? Et si elle était tombé dans les pommes ? Et si... «Putain Sarah ! » murmurais-je en prenant les clefs de ma voiture. «Charlie, je sors. Je reviens dans l'après-midi. » La jeune fille ne répondit pas mais je savais qu'elle m'avait entendue. C'était l'essentiel. Je n'attendais pas de réponses particulières. Qu'est-ce qu'elle aurait put dire de toute façon ? " A toute à l'heure ? " " Pas de problème Raphaël ? " " Je t'attends pour manger ? " " Fait attention à toi ? " J'avais arrêté d'attendre ce genre d'attention depuis longtemps maintenant. Charlie n'était pas.. ce genre de fille. Avec un soupir résigné, je claquais la porte. J'entrais dans ma volvo grise et me dirigeais vers la maison de Sarah. Elle n'habitait pas très loin de chez moi. Quelque rues toute au plus. 10 minutes plus tard j'étais sur place. La voiture de Sarah était dans l'allée. Une voiture inconnu y était garé aussi. Je fronçais automatiquement les sourcils. J'entrais dans la maison, non fermé bien entendu, et le spectacle que je vis me fit serrer les dents. Des vêtements étaient éparpillés un peu partout dans le salon, une chaussette sur le lustre, un soutien gorge sur un lampadaire, une chaussure sur la table de cuisine. Inutile de me faire un dessin. J'avais compris la raison de son retard. La ligne blanche sur la table basse, la bouteille de whisky renversé sur le tapis et l'odeur infecte qui régnait dans la pièce me fit voir rouge. Je claquais mon poing contre le mur. PUTAIN ! Je me dirigeais rapidement vers la chambre à coucher et poussé la porte, qui claqua contre le mur dans un bruit sourd. «Putain de merde Sarah, tu te fou de ma gueule ?! »
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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyMer 3 Juil - 21:36

Mesdemoiselles [...]
Raphiki & Sarah



Ma vie n'est pas facile, non elle est extrêmement simple. La société voit la routine comme étant le célèbre "métro, boulot, dodo", mais ma vie à moi est une routine de conneries en tout genre. Je pourrais vous dire que je n'en suis pas fière, mais ce serait vous mentir, par ce qu'en vérité, j'aime foutrement ça. Je collectionne les mecs comme mon ancien voisin collectionne les timbres, je passe la plupart de mon temps dans le pays des bisounours grâce à mes amis la cocaïne et l'alcool. Ouais je sais, je suis pas super raisonnable comme fille, mais quoi de mieux que les plaisirs interdits ? J'aime ma vie comme ça, elle est plutôt cool. Bien sur certaines personnes trouveront que j'ai gâchée la vie que mes merveilleux parents m'avaient destinés, mais je m'en fou, je vie ma vie comme je l'entend, et c'est ça qui est bon. Je travaille en tant que barmaid dans un des plus célèbres bar de la ville, pas que j'en ai besoin, non. Je ne supporte pas de rester statique chez moi, c'est tout. Voilà comment j'ai rencontrée Jason, ou James, ou encore l'homme qui est dans mon lit à cet instant. Ce n'est pas pour me venter, mais il m'est plutôt facile de ramener les garçons à la villa. J'avoue que je suis un peu fatiguée d'agir comme une gamine, mais je préfère vivre ainsi, vivre en couple avec deux gosses et un chien... ça ne me ressemble pas. J'avais un but jusque là, c'était de retrouver mon meilleur ami, Raphaël. J'ai réussie, et maintenant je suis comblée ! J'entend un bourdonnement sous l'oreiller, mon portable je crois... Je le balance de l'autre côté de la chambre en grognant. Oui passé le stade du "je suis complètement arrachée", je grogne. Mais il faut me comprendre, je dors depuis à peine quelques heures et j'ai une gueule de bois monstrueuse. Un peu de pitié quoi... C'est quand j'entend du bruit dans le salon que je me réveille légèrement, peut être que mon partenaire d'un soir est parti, tant mieux, je ne suis pas du genre à discuter le bout de gras au matin. La porte de ma chambre s'ouvre violemment, et comme une idiote invétérée, je prend mon oreiller en guise de bouclier vers l'intrus. J'aperçois alors Raphaël, les cheveux ébouriffés et la mine sévère. Et la je prends conscience que j'ai complètement oubliée notre rendez-vous. Ok, il va me tuer. "Putain de merde Sarah, tu te fou de ma gueule ?!" Qu'est-ce que je disais. Je me lève sur le lit en soupirant. Je titube légèrement, apparemment je suis encore sous l'effet de la Coc' Je m'attache les cheveux qui me cachent le visage et je lance un regard noir à Raphaël. "Oh ! Baisses d'un ton ! Si tu le fais pas pour moi, fais le pour mon crâne poussin. Je suis désolé, je t'ai un tout petit peu oublié..." Je descend du lit en baillant et contourne Raphaël sans croiser ses yeux, je sors de la chambre et rentre dans la salle de bain. Je prend ma brosse à dents et l'enfonce dans ma bouche, j'attend alors que la sentence tombe. La brosse à dent me permettra de répondre évasivement à ses questions.
 

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Dernière édition par Sarah A. Barianni le Mer 3 Juil - 22:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyMer 3 Juil - 22:16

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Je vais la tuer. Je vais la tuer. Je vais la tuer. Je vais la pendre par les pieds et lui arracher les orteils un par un. Je vais lui épiler les cheveux et faire de ses vêtements des torchons à vaisselle. OH PUTAIN !  Elle était là. Dans son lit, dans ses vapeurs d'alcool, dans sa poudre de cocaïne, contente et comblée avec un putain d'enfoiré qui ronflait comme un tramway juste à côté. Le simple fait de voir sa jambe velu balloter dans le vide en rythme me donna envie de l'assassiner. Foutu connard ! Mon regard se posa de nouveau sur une Sarah dans le gaz, les cheveux en pagaille, un coussin devant elle afin de se protéger du possible agresseur qui venait de faire une entrée fracassante dans sa chambre. Moi en l’occurrence. Comme si, avec ce qu'elle s'était enfilée la veille, elle pouvait vraiment faire du mal à quelqu'un. Viser droit ressemblé à un putain de sudoku pour elle à l'heure qu'il est. Elle décala son arme et me toisa d'un regard vitreux. Très vitreux. Trop vitreux. Je la fusille du regard parce que j'ai juste envie de l'égorger. Je me sentais con. Infiniment con. J'étais là, entrain de contempler deux gros déchets suintant la merde et je ne savais pas quoi faire. Sarah se leva sur son lit, tangua comme une alcoolique et s'attacha les cheveux en tentant de me lancer un regard noir, destiné à me faire regretter sans doute. Quedal. Elle ne se rendait même pas compte qu'elle était complètement à poil. Et que j'étais là. Juste devant elle. Et que je ne l'avais pas vue depuis des années. La dernière fois que j'avais put la serrer dans mes bras elle n'avait même pas de nichons. Aujourd'hui.. elle avait grandie. Et c'était notre premier rendez-vous. Notre première journée, rien que tout les deux, une journée qui était destinée à rattraper le temps perduent. Et elle me dévoile son anatomie sans gêne. J'étais pas gynécologue nom de dieu !  Cette journée n'était pas censé se passer de cette façon. Nous ne devrions même pas être ici et pourtant c'était le cas. Et c'était de sa faute. Et elle n'avait même pas eut la présence d'esprit de m'avertir. «Oh ! Baisses d'un ton ! Si tu le fais pas pour moi, fais le pour mon crâne poussin. Je suis désolé, je t'ai un tout petit peu oublié... » déclara-t-elle d'une voix molle en passant à côté de moi sans me jeter un coup d’œil. Non mais elle se fou de ma poire ?! La seule personne qui était en droit de faire la gueule ici c'était moi ! MOI ! Et moi seul ! «La ferme ! J'essaie de dormir. »  grogna une voix rauque du dessous des couvertures. Non mais je rêve ! «TOI, on t'a pa sonné ! Alors retourne chez ta mère et vient pas m'emmerder !! » hurlais-je en pointant l'amas de couette de l'index. «Et qu'est-ce que tu fou encore là toi d'ailleurs ?! » demandais-je en me ruant sur le corps endormit. Je tirais sur le draps et l'envoyait de l'autre côté de la chambre. Je ramassais son jean, son tee-shirt et lui fourrait dans les bras. Je pris sa cheville dans mes mains et tiré de toute mes forces jusqu'à ce qu'il s'écrase comme un gros cachalot sur la moquette. «Dégage ! » grognais-je en lui balançant un coup de pied dans la cuisse. Juste à ce moment-là il releva la tête et ouvrit les yeux. Lorsque je vis son visage je me figeais carrément sur place avant de disjoncter encore plus. «Jared ?! Tu as couché avec Jared ? » criais-je estomaqué en fixant le serveur du lobby avec des yeux ronds. Putain, elle avait couché avec le serveur. Le serveur du lobby. Mon collègue. Son collègue. Et elle était là depuis 2 semaines seulement. Je me ruais dans la salle de bain. Mademoiselle, toujours à poil, se brosser calmement les dents. Et là, je vis rouge. Cramoisie. PUTAIN JE VAIS LA TUER ! «SARAH ! Tu as couché avec Jared ! Je travaille avec lui toute la semaine. Comment je vais pouvoir le regarder dans les yeux maintenant hein ? Comment je vais faire pour bosser avec ce putain de trou du cul maintenant qu'il est passé dans ton lit ?! » Je me pris la tête entre les mains, m'arrachant presque les cheveux sous l'énervement. J'avais déjà une semi gosse à la maison, j'avais pas non plus besoin d'une autre gamine compliqué à gérer. «J'en est strictement rien à foutre de ton putain de mal de crâne Sarah ! Tu m'as fait attendre quatre putain d'heures. Tu te rends compte ? Je me suis fait un sang d'encre pendant quatre heures à imaginer je ne sais combien de scénarios plus morbides les uns que les autres. En songeant à tout ce qui aurait put t'arriver parce que t'était pas foutu de répondre à ton putain de téléphone. QUATRE PUTAIN D'HEURES SARAH ! Tu réalises ?! Je n'ai pas assez de soucis comme ça il faut encore que tu m'en rajoutes. C'est pour ça que tu m'as retrouvé ? Parce que tu avais besoin d'un couillon pour t'apporter de l'aspirine t'es lendemain de beuveries ?! Très bien mais sa sera sans moi. » Je frappais le carrelage de sa salle de bain avant de tourner les talons et de claquer violemment la porte et de m'enfuir sur sa terrasse extérieur. Les mains tremblantes - et autant le dire, je venais de me niquer le poignet à cause de ce putain de mur - je sortis mon paquet de cigarette et prit ma première bouffée d'oxygène mortel. Oh putain !

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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyMer 3 Juil - 23:08

Mesdemoiselles [...]
Raphiki & Sarah



J'étais là, dans ma grande salle de bain, à observer mon reflet dans le miroir. Oh, je suis nue. Merde. Bon tant pis pour les beaux yeux du petit Raphiki, il fera avec. Mes yeux sont vitreux et injectés de sang. Encore un peu et on me confondrai avec tout ces vampires à la mords moi le nœud. Mes cheveux sont ternes, j'ai beaucoup maigri. En fait je suis l'ombre de moi même. J'étais jolie il fut un temps ! Si si avec un peu d'imagination, vous pouvez vous l'imaginer. Bon maintenant j'ai la peau sur les os et je suis le stéréotype de la fille droguée du coin. Pas mal ! J'essaye de me dire que même si on jase sur moi, on parle tout de même de moi, et ça, ça me fait devenir quelqu'un. Je me lamente sur mon sort alors que je me brosse les dents. J'entend du bruit dans ma chambre, et je risque un regard par le chambranle de la porte. Oh, Jared est réveillé, oh maintenant il est à terre. J'hésite à m'interposer car j'ai l'impression que Raphaël veut le tuer. Je n'imagine même pas à quel point je vais me faire tuer. Je ne l'ai pas vu depuis une décennie et je lui pose un lapin, c'est pas plaisant tout ça. Je pouffe de rire en entendant la voix de mon meilleur ami tirer vers les aigus, il ne changera donc jamais. Déjà enfant, lorsqu'il était en colère, ça voix allait du plus grave au plus aigu, je lui ai dis une fois que même ma voix était plus grave... Il l'a mal prit. J'entend des pas dans le couloir et je comprend que Raphaël me rejoint dans la salle de bain. Je m'approche du miroir en continuant de brosser mes dents et fait mine de l'ignorer totalement. "SARAH ! Tu as couché avec Jared ! Je travaille avec lui toute la semaine. Comment je vais pouvoir le regarder dans les yeux maintenant hein ? Comment je vais faire pour bosser avec ce putain de trou du cul maintenant qu'il est passé dans ton lit ?!" Je tente un sourire dans sa direction et lui fait un clin d’œil, je sais, je joue avec le feu mais j'ai besoin de ça, pour me sentir vivante ! Je crache le dentifrice dans le lavabo et rince.  "Qu'il s'appel Jared, Jean-Jacques ou même Gertrude, je ne vois pas en quoi ça te dérange, j'ai pas encore une laisse autour du cou, et tu n'es pas non plus mon maître ni mon petit ami ou quoi que ce soit d'autre, si j'ai envie de baiser mon petit plumeau, eh bien je baise. J'aime ça j'ai le droit non ?" Il me laisse à peine le temps d'argumenter qu'il s’affole déjà, pire qu'une gonzesse. Je prend la chemise de Jared qui traîne sur le sol et l'enfile. Il s'arrache les cheveux, il à l'air torturé, il m'énerve. Il frappe dans mon carrelage à 500$ le m² et je me retiens de lui en mettre une tout de suite pour lui remettre les idées en place "J'en est strictement rien à foutre de ton putain de mal de crâne Sarah ! Tu m'as fait attendre quatre putain d'heures. Tu te rends compte ? Je me suis fait un sang d'encre pendant quatre heures à imaginer je ne sais combien de scénarios plus morbides les uns que les autres. En songeant à tout ce qui aurait put t'arriver parce que t'était pas foutu de répondre à ton putain de téléphone. QUATRE PUTAIN D'HEURES SARAH ! Tu réalises ?! Je n'ai pas assez de soucis comme ça il faut encore que tu m'en rajoutes. C'est pour ça que tu m'as retrouvé ? Parce que tu avais besoin d'un couillon pour t'apporter de l'aspirine t'es lendemain de beuveries ?! Très bien mais sa sera sans moi. " Je le regarde sans voix et fronce les sourcils, non mais il se croit où lui ? Il n'attend même pas que je réponde et s'en va, je le suis sur la terrasse. Je claque mon poing sur la table de jardin. "Moi aussi je peux claquer mon poing sur la table abruti. Maintenant tu m'écoutes par ce que là j'en ai ma claque de tes lamentations à la con. Tu t'attendais à quoi exactement, à retrouver une gamine de huit ans comme tu l'a connue ? Avec des couettes et un air angélique. Je t'explique, j'ai grandit, j'ai vécu sans toi et je t'interdis de juger mes fréquentations ou ma manière de vivre. Je me démerde très bien sans toi depuis des années ! Tu te plains d'avoir attendu quatre putains d'heures ? Et moi, sais tu depuis combien de temps je t'attends ? Non ! Moi j'ai attendu de tes nouvelles, j'ai pleurée toute les larmes de mon corps de gamine pendant des années, MOI je t'ai attendue, MOI je t'ai cherché alors que toi tu ne daignais même pas lever le petit doigt pour prendre de mes nouvelles. J'ai vraiment été conne de croire que toi au moins tu pourrais me comprendre. Tu t'es fais un sang d'encre pour moi... S'il te plais laisse moi rire, j'ai failli mourir bien des fois, mais réveil toi, TOI tu n'étais pas là alors ne viens pas me faire chier pour une malheureuse soirée de beuverie qui s'est légèrement éternisée. Si je te rajoute des problèmes Raphaël, pourquoi tu as accepté de me revoir ? POURQUOI T'ES LA ?! Hein ? Si tu n'acceptes pas ce que je suis casses toi et ne remets plus jamais les pieds chez moi c'est clair ? Ne me parles pas de tes "problèmes" Arrêtes de ne penser qu'à toi. T'es un putain d'égoïste et je te hais de ne jamais m'avoir cherché tu m'entends ?! JE TE HAIS !" Je pris une cigarette dans son paquet de clopes et m'assis sur le sol. Les larmes coulaient sur mes joues et je les rejetés d'un geste rageur, non il ne gagnerait pas à ce jeu là. J'avais assez pleurée pour lui et ça c'était terminé. Mon crâne allait finir par exploser. Je posais ma tête sur mes genoux en fermant les yeux pour atténuer la douleur. "Je ne veux ni de ta pitié, ni de ton aide, ni même de ton dégoût, je voulais mon ami, si tu n'es pas capable de me donner ça, vas t-en s'il te plais."

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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyJeu 4 Juil - 0:25

Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni Tumblr_mfu5f1d5AI1s1hej5o1_500_large
Elle me provoque. Cette petite conne me provoque avec sa brosse à dent dans la bouche et une patate de dentifrice sur le menton. Elle me provoque avec son sourire en coin et son foutu clin d'oeil. Elle me provoque avec ses yeux injectés de sang. Des yeux de junkie. Ma petite sœur est une junkie. Et je pus enfin voir ce que la vie avait fait d'elle après toute ces années. Elle était devenue l'ombre d'elle même. Rien de moins que le reflet de la Sarah que j'avais connu quand j'étais gamin. Je la revois encore, sautiller en rentrant de la colle, son petit sac à dos rose, ses couettes et ses élastiques à pompon. Je la vois sourire, rire, courir, j'entends encore le son de sa voix, sa petite voix aiguë. La vie, le temps l'avait rendu amer, aigri et dépravé. Et une pulsion meurtrière me prit soudain : j'avais juste envie de lui enfoncer sa stupide brosse à dent fushia au fond de la gorge. Elle était horripilante, agaçante.. Nom de dieu. «Qu'il s'appel Jared, Jean-Jacques ou même Gertrude, je ne vois pas en quoi ça te dérange, j'ai pas encore une laisse autour du cou, et tu n'es pas non plus mon maître ni mon petit ami ou quoi que ce soit d'autre, si j'ai envie de baiser mon petit plumeau, eh bien je baise. J'aime ça j'ai le droit non ? » MAIS ELLE SE FOU VRAIMENT DE MA GUEULE pensais-je en serrant les dents au point de m'en faire mal. Baiser. Je n'avais plus entendu ce mot depuis des années. Je ne " baise " plus vraiment ces derniers temps. Pas depuis que Kelsey est entrée dans ma vie en tout cas. Ma petite sœur baise. Est-ce que c'était le moment où j'étais censé applaudir pensais-je amer en serrant de nouveau les poings. « MAIS C'EST TON COLLÈGUE SARAH ! Non mais qu'est-ce qui t'a pris enfin ? Qu'est-ce que tu vas faire maintenant ? Je vais devoir supporter les yeux doux et les sous-entendus gore tous les jours ? Je vais devoir sceller la réserver par peur de retrouver des morceaux de latex dans les fruits et légumes ? Mais réagis bordel ! RÉAGIS ! » hurlais-je avant de claquer ma main contre le mur, avant de fuir la queue entre les jambes fumer ma frite à cancer afin de calmer mes nerfs. J'avais envie de tout casser, de frapper quelqu'un, de boire, de fumer un joint, j'avais envie de partir, de partir loin et de ne plus jamais revenir. Et je l'entendis revenir au pas de course dans mon dos. «Moi aussi je peux claquer mon poing sur la table abruti. Maintenant tu m'écoutes par ce que là j'en ai ma claque de tes lamentations à la con. Tu t'attendais à quoi exactement, à retrouver une gamine de huit ans comme tu l'a connue ? Avec des couettes et un air angélique. Je t'explique, j'ai grandit, j'ai vécu sans toi et je t'interdis de juger mes fréquentations ou ma manière de vivre. Je me démerde très bien sans toi depuis des années ! Tu te plains d'avoir attendu quatre putains d'heures ? Et moi, sais tu depuis combien de temps je t'attends ? Non ! Moi j'ai attendu de tes nouvelles, j'ai pleurée toute les larmes de mon corps de gamine pendant des années, MOI je t'ai attendue, MOI je t'ai cherché alors que toi tu ne daignais même pas lever le petit doigt pour prendre de mes nouvelles. J'ai vraiment été conne de croire que toi au moins tu pourrais me comprendre. Tu t'es fais un sang d'encre pour moi... S'il te plais laisse moi rire, j'ai failli mourir bien des fois, mais réveil toi, TOI tu n'étais pas là alors ne viens pas me faire chier pour une malheureuse soirée de beuverie qui s'est légèrement éternisée. Si je te rajoute des problèmes Raphaël, pourquoi tu as accepté de me revoir ? POURQUOI T'ES LA ?! Hein ? Si tu n'acceptes pas ce que je suis casses toi et ne remets plus jamais les pieds chez moi c'est clair ? Ne me parles pas de tes "problèmes" Arrêtes de ne penser qu'à toi. T'es un putain d'égoïste et je te hais de ne jamais m'avoir cherché tu m'entends ?! JE TE HAIS !. » Les larmes me montèrent aux yeux et débordèrent sur mes joues alors que je l'écoutais. Mes doigts se ressèrent sur le filtre désormais plat de ma cigarette. Mon envie de meurtre refit surface. Elle n'avait pas le droit de dire ce genre de chose. Elle n'avait pas le droit de juger sans savoir. Elle n'avait pas le droit de supposer des choses qu'elle ne connaissait pas. Elle n'avait pas le droit de penser ça ! « JE T'INTERDIS DE DIRE CE GENRE DE CONNERIES SARAH ! Tu ne sais rien ! Tu ne sais absolument rien ! Tu n'étais pas là toi non plus ! Tu n'étais pas là et tu ne sais rien ! Tu te lamente sur ton putain de sort parce que t'es parents sont des enfoirés qui se foutent royalemment de ta gueule mais moi je n'ai plus rien ! Ma mère s'est fait butté et mon salopard de père est en taule. Tu comprends ça ? Je n'ai plus rien ! J'ai étais balloté de famille d'accueil en famille d'accueil alors que tu vivais tranquillement dans ta putain de villa 5 étoiles. J'ai pas ouvert la bouche pendant 1 an parce que j'étais terrorisé à l'idée d'être tabassé ! J'ai dut me démerder, vivre dans la rue parce que ma sois-disant famille d'accueil avait trop de bouches à nourrir pour nourrir la mienne. Pendant que TOI tu dormais dans des draps chauds et pendant que MOI je dormais sous la flotte dans un ridicule petit bout de carton ! J'avais 7 ans ! 7 ANS ! J'ai passé plus de temps à attendre que n'importe qui sur cette putain de planète Sarah. J'ai attendu que mon père parte au travail, j'ai attendu que les coups cessent, j'ai attendu que les cris cessent, j'ai attendu, j'ai attendu, j'ai attendu et comme cela ne suffisait pas on m'a fait attendre encore 5 ans avant qu'une famille, une BONNE famille ne s'intéresse à mon cas. » J'essuyais les larmes, les joues rouges et les mains tremblantes. Je sentais cette boule grandir, s'épanouir dans mes muscles jusqu'à ce que mes poings ne percutent une table, une chaise, un arbre. Jusqu'à ce que mes mains saignent. Jusqu'à ce que la douleur remporte le combat sur la rage. Mais ce n'était pas suffisant. «Parce qu'en plus tu crois que je n'ai pas tout fait pour te retrouver ?! J'ai TOUT fait pour te retrouver. Mais lorsque j'ai enfin put revenir dans ce patelin pourri de mes couilles on m'a gentiment appris que tu t'étais déjà barrée ! Et ta si gentille gouvernante qui t'a tant aimée, qui t'a tout appris et qui t'aimais comme sa fille n'avait plus AUCUNE nouvelles de toi depuis des mois ! DES MOIS ! Alors arrête avec ta saloperie de morale qui ne rime à rien ! Tu te démerde sans moi ?! TU AS VUE CE QUE TU ES DEVENUE SARAH ?! Regarde toi dans une glace et dit moi que tu ne te dégoute pas ! Tu as une sale gueule, tu pue l'alcool à 20 km, tu as les joues creuses, tu es aussi plate qu'une omelette jambon gruyère et tu vas me faire croire que tu te démerde toute seule comme une grande ?! Tu es devenue une épave. Et pourquoi ? Tu as tout, TOUT pour être heureuse et tu gâches ta vie avec des pensées débiles et des préoccupations encore plus conne. Et c'est moi qui suis égoïste ? Comment peux-tu seulement dire une chose pareille alors que tu ne m'a pas vue depuis 20 ans ?! ET MOI JE TE HAIS DE ME FAIRE PLEURER COMME UNE GONZESSE ! » hurlais-je à mon tour en me laissant glisser contre le mur. Je ramenais mes genoux contre ma poitrine tout en cachant mon visage entre mes bras. J'avais besoin de mes cachets mais je n'avais rien sur moi. Rien. Et tenir me semblait difficile. «Je ne veux ni de ta pitié, ni de ton aide, ni même de ton dégoût, je voulais mon ami, si tu n'es pas capable de me donner ça, vas t-en s'il te plais. » Je relève lentement la tête, regardant son dos courbé. « Parce que c'est quoi pour toi un ami ? Un ami aide ses amis. Qu'est-ce que tu attends de moi Sarah ? Que je te laisse baigner calmement dans tes merdes et que je recolle les morceaux derrière ? C'est ça que tu veux ? Que je te regarde foutre ta vie en l'air sans réagir ? Que je te laisse te tuer à petit feu sans rien dire ? Parce que si c'est ce que tu attends, je ne suis pas le candidat idéal. Putain de merde, je t'aime Sarah. Tu entends ? QU'EST-CE QUE TU ATTENDS DE MOI ?! » Je resserrais mes bras autour de mes jambes, fermant les yeux, laissant la brise légère caresser mon visage mouillé. Et puis... «Personne n'aurait vu ma chaussette par hasard ? » OH PUTAIN ! Je me redressais d'un seul coup et mon poing s'écrasa sur le visage de ce connard de Jared. «Qu'est-ce que tu ne comprend pas dans le mot " DÉGAGE " abruti ! On en a rien a foutre de ta putain de chaussette ! Étouffe toi avec si sa te chante ! JE VEUX JUSTE QUE TU TE TIRE D'ICI ! » hurlais-je en lui balançant mon pied dans son gros ventre mou. J'étais aveuglé par la colère, par la rage, par la hargne.. Une colère que je pensais contrôlé. Apparemment, j'allais devoir prendre une autre séance chez mon psy.


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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptyJeu 4 Juil - 1:32

Mesdemoiselles [...]
Raphiki & Sarah



Personne depuis longtemps n'avait réussit à me mettre dans cet état de rage intense, j'aurais put exploser un camionneur les yeux fermés et les mains ligotés. Cet état qui fait grimper l'adrénaline en vous, comme si vous étiez en danger me consumait. J'en étais arrivée au point ou je remettais en question mes années de recherche pour le retrouver. C'est méchant ? Oui peut être, mais je n'autorise personne, même pas lui, de me faire la morale. Je déteste ça. Je pense que chacun est libre de choisir sa propre destinée, peut importe ce que pense le reste de la planète. Je ne te juges pas, alors ne me juge pas. C'est comme ça, c'est un fait et je ne fonctionne pas autrement, désolé. Comme si ma vie pouvait importer de toute manière. J'ai fais mes choix, seule comme une grande et j'emmerde ceux qui me jugent pour ça, il en sera de même pour Raphaël si il le faut. "MAIS C'EST TON COLLÈGUE SARAH ! Non mais qu'est-ce qui t'a pris enfin ? Qu'est-ce que tu vas faire maintenant ? Je vais devoir supporter les yeux doux et les sous-entendus gore tous les jours ? Je vais devoir sceller la réserver par peur de retrouver des morceaux de latex dans les fruits et légumes ? Mais réagis bordel ! RÉAGIS !" Je soupirai de frustration, même en colère on trouvait toujours une petite dose d'humour dans ses paroles. Mais là, tout de suite, je ne suis pas d'humeur à rire, je préférerai lui éclater la tête sur le bitume. "Écoutes Raphaël, je t'aime bien mais là tu me sors par tout les trous. J'ai aucun compte à te rendre. Rassures toi, tu ne trouvera ni latex, ni traces suspectes dans la réserve puisque je ne couche pratiquement jamais deux fois avec la même personne. Vas-y regardes moi avec tes yeux de bonne sœur choquée, je m'en contre fou ! Tu veux que je réagisse comment exactement ? Tu veux que je me dise 'Oh mon dieu pardonnez moi seigneur mais j'ai péché, je finirai dans un couvent à manger des fruits et des légumes pour me faire pardonner' Franchement, toi réveils toi, je n'ai plus cinq ans, si je veux baiser je baise. Ce ne sont pas des viols puisque je suis consentante alors retire cette mine choquée de ton visage." Après avoir poussée ma beuglante, je voyais les larmes rouler sur ses joues, oui ça me faisait mal, oui je voulais le prendre dans mes bras et m'excuser, mais ce qu'il me reste de dignité m'en empêchait. Son regard était noir de colère. Oh ce petit garçon avait bien grandit et les fantômes de son passé l'avaient rendu fou, je remerciai intérieurement le ciel d'être une femme car j'aurais, pour sur, pris un allé-retour bien salé. "JE T'INTERDIS DE DIRE CE GENRE DE CONNERIES SARAH ! Tu ne sais rien ! Tu ne sais absolument rien ! Tu n'étais pas là toi non plus ! Tu n'étais pas là et tu ne sais rien ! Tu te lamente sur ton putain de sort parce que t'es parents sont des enfoirés qui se foutent royalement de ta gueule mais moi je n'ai plus rien ! Ma mère s'est fait butté et mon salopard de père est en taule. Tu comprends ça ? Je n'ai plus rien ! J'ai étais ballotté de famille d'accueil en famille d'accueil alors que tu vivais tranquillement dans ta putain de villa 5 étoiles. J'ai pas ouvert la bouche pendant 1 an parce que j'étais terrorisé à l'idée d'être tabassé ! J'ai dut me démerder, vivre dans la rue parce que ma sois-disant famille d'accueil avait trop de bouches à nourrir pour nourrir la mienne. Pendant que TOI tu dormais dans des draps chauds et pendant que MOI je dormais sous la flotte dans un ridicule petit bout de carton ! J'avais 7 ans ! 7 ANS ! J'ai passé plus de temps à attendre que n'importe qui sur cette putain de planète Sarah. J'ai attendu que mon père parte au travail, j'ai attendu que les coups cessent, j'ai attendu que les cris cessent, j'ai attendu, j'ai attendu, j'ai attendu et comme cela ne suffisait pas on m'a fait attendre encore 5 ans avant qu'une famille, une BONNE famille ne s'intéresse à mon cas." Et là, c'est le drame. Mes yeux étaient littéralement noyés, si bien que je ne distinguais que la silhouette de Raphaël au travers de mes larmes, mais ce qui aurait put étonner le plus c'est que je suis partie dans un fou rire un contrôlable. Un rire jaune pour être exact. Ce rire n'aurait put tromper personne car toute ma haine et ma souffrance y transcendaient. Il croyait vraiment que j'avais passée ma vie dans une jolie villa, les doigts de pieds en éventail, une cigarette au bec. NAÏF. Mes nerfs lâchaient, tant pis pour la chemise de Jared, tant pis pour ma dignité, tant pis pour moi, mais là c'était trop. "En quoi je me lamente sur mon sort Raphaël hein dis moi ?! Tu crois vraiment que ma vie à été semblable au feux de l'amour, non mais sérieusement. J'ai vécu pendant un an sous un pont à batailler des morceaux de pains pourris avec les clodos, je me suis prostituée pendant trois ans tout simplement par ce que mes parents m'avaient coupés les vivres. Je ne me vente pas de ma vie certes, mais je ne m'en plains pas non plus par ce que je t'ai trouvé, j'ai vécu tout ça pour toi tu comprends un peu ce que ça représente. C'est la seule chose que j'ai toujours voulu et maintenant que je te trouves, tu me juge, tu me traite comme une malpropre par ce que tu trouves mon collègue dans mon lit. T'as peut être eut une vie pathétique, mais n'essaye même pas de dire que j'ai vécue un conte de fée par ce que là je vais te raconter ce que j'ai vécu et tu vas regretter d'avoir dis ça. Toi non plus tu ne sais rien." J'avais les nerfs à vifs, le cœur au bord des lèvres, des putains de frissons partout sur le corps, une irrésistible envie de vomir, un besoin de le serrer dans mes bras, le manque de Coc' se faisait ressentir, je saturais, bon dieu je saturais. Mes mains tremblaient et mes larmes coulaient. "Parce qu'en plus tu crois que je n'ai pas tout fait pour te retrouver ?! J'ai TOUT fait pour te retrouver. Mais lorsque j'ai enfin put revenir dans ce patelin pourri de mes couilles on m'a gentiment appris que tu t'étais déjà barrée ! Et ta si gentille gouvernante qui t'a tant aimée, qui t'a tout appris et qui t'aimais comme sa fille n'avait plus AUCUNE nouvelles de toi depuis des mois ! DES MOIS ! Alors arrête avec ta saloperie de morale qui ne rime à rien ! Tu te démerde sans moi ?! TU AS VUE CE QUE TU ES DEVENUE SARAH ?! Regarde toi dans une glace et dit moi que tu ne te dégoûte pas ! Tu as une sale gueule, tu pue l'alcool à 20 km, tu as les joues creuses, tu es aussi plate qu'une omelette jambon gruyère et tu vas me faire croire que tu te démerde toute seule comme une grande ?! Tu es devenue une épave. Et pourquoi ? Tu as tout, TOUT pour être heureuse et tu gâches ta vie avec des pensées débiles et des préoccupations encore plus conne. Et c'est moi qui suis égoïste ? Comment peux-tu seulement dire une chose pareille alors que tu ne m'a pas vue depuis 20 ans ?! ET MOI JE TE HAIS DE ME FAIRE PLEURER COMME UNE GONZESSE !" Il ment, pitié dites moi qu'il ment. Il n'est jamais venu, jamais, on me l'aurait dit, mes parents me l'auraient dit. Même si leur haine était immense envers moi, ils savaient que Raphaël était ma dernière chance de vivre. Ils me l'auraient dit, j'essaye de croire qu'ils me l'auraient dit. "Pourquoi tu me mens, personne ne m'a jamais parlé de ta visite au domaine, jamais. J'étais partie te chercher. Je ne me suis jamais sentie aussi seule tu comprends...Mais tu sais quoi ? Penses ce que tu veux mais à croire que les omelettes jambon gruyère on la côte car je n'ai jamais passé une nuit seule depuis des mois. Alors vas y juges moi, fais toi plaisir, je m'en fiche totalement. J'ai peut être tout pour être heureuse financièrement, mais tu connais le dicton l'argent ne fait pas le bonheur. J'ai personne, j'ai aucune attache, j'ai du fric, j'ai des grandes maisons partout, mais tout ça c'est quoi à côtés de la solitude. T'as toujours été doué pour te coller aux autres, pas moi." Je hoquetais, je souffrais, je voulais mourir, là tout de suite pour l'interdire de continuer à fouiller dans mes plus lourds secrets, je voulais qu'il s'arrête maintenant. "Parce que c'est quoi pour toi un ami ? Un ami aide ses amis. Qu'est-ce que tu attends de moi Sarah ? Que je te laisse baigner calmement dans tes merdes et que je recolle les morceaux derrière ? C'est ça que tu veux ? Que je te regarde foutre ta vie en l'air sans réagir ? Que je te laisse te tuer à petit feu sans rien dire ? Parce que si c'est ce que tu attends, je ne suis pas le candidat idéal. Putain de merde, je t'aime Sarah. Tu entends ? QU'EST-CE QUE TU ATTENDS DE MOI ?!" Bonne question, oui très bonne question même c'est quoi un ami Sarah mhh ? Pas facile de répondre quand on en a connu qu'un pas vrai. "Je veux juste que tu sois toi, comme tu l'étais avant, c'était pourtant pas si compliqué AVANT !" Je restais là, pliée en quatre sur le sol à regarder Raphaël dégager Jared de chez moi d'un coup bien placé. J'aurais dut lui crier dessus, mais je n'en avais pas la force alors je rentrais dans la villa et sortit deux verres et une bouteille de whisky. On combat toujours le mal par le mal, pas vrai ?

| Chameleon Circuit.

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Dernière édition par Sarah A. Barianni le Mar 27 Aoû - 0:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni   Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni EmptySam 20 Juil - 22:35

Mesdemoiselles, bienvenue chez le fornicateur doté d’un dard de 25cm... de circonférence. ft Sarah A. Barianni Tumblr_mfu5f1d5AI1s1hej5o1_500_large
La colère était toujours là. J'avais la bête impression qu'elle me collait à la peau et que j'allais devoir la supporter pour le restant de mes jours. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas péter les plombs à ce point-là. Après tout, je paie ce putain de psychologue toute les semaines pour qu'il m'aide à contrôler mes sautes d'humeurs. Jusqu'à aujourd'hui, j'avais était plutôt fier du chemin que j'avais parcouru et des progrès que j'avais fait sur moi-même. J'étais plus calme, plus posé. Je parvenais à m'arrêter, à me calmer lorsque je dégénerais. Maintenant, je me sentais littéralement comme une merde. Une grosse merde puante et vénéneuse, bonne à sécher au soleil sur le trottoir sous les coups d'oeils dégoutés des passants. Tout ce que j'avais fait, tout ce que j'avais subi, rien n'avait changé au finale. J'avais beau parler de tout et n'importe quoi au psy, il n'avait rien modifié. C'était seulement une illusion et une belle arnaque. Et j'avais beau essayer de reprendre le contrôle en faisant ses exercices de respiration qu'il me conseillé, cela ne fonctionna pas. J'haletais simplement comme un chien en rute, ou comme une femme enceinte entrain d'accoucher, tout seul, prostré contre ce putain de mur. «Écoutes Raphaël, je t'aime bien mais là tu me sors par tout les trous. J'ai aucun compte à te rendre. Rassures toi, tu ne trouvera ni latex, ni traces suspectes dans la réserve puisque je ne couche pratiquement jamais deux fois avec la même personne. Vas-y regardes moi avec tes yeux de bonne sœur choquée, je m'en contre fou ! Tu veux que je réagisse comment exactement ? Tu veux que je me dise 'Oh mon dieu pardonnez moi seigneur mais j'ai péché, je finirai dans un couvent à manger des fruits et des légumes pour me faire pardonner' Franchement, toi réveils toi, je n'ai plus cinq ans, si je veux baiser je baise. Ce ne sont pas des viols puisque je suis consentante alors retire cette mine choquée de ton visage. » Sarah et moi n'étions plus les enfants que nous étions jadis. Nous avions grandit, évoluer, dans le bon ou dans le mauvais sens, nous n'étions plus des gamins. Je le savais mais lorsque j'avais vue ses grands yeux se poser sur moi la dernière, j'avais pensé que rien n'avait changer depuis toutes ses années. J'étais vraiment un grand trou du cul ! « Par tout les trous dis-tu ? T'inquiète pas, Jared se chargera de les fourrer. » répliquais-je amer en jetant un regard haineux par la baie vitrée même si l'autre débile n'était pas là. Le simple fait de le savoir non loin d'ici me donnait la nausée. J'avais envie de l'égorger, dans faire de la chaire à pâté, de.... Non seulement j'étais un fou furieux mais en plus je virais psychopathe maintenant. « Je ne suis pas choqué d'accord ?. Parce que tu crois que j'ai fais quoi moi ? Je suis pas doué pour la couture. Et faire des pulls qui crattent c'est pas mon truc. Je suis passé de femmes en femmes en oubliant leurs prénoms au moment même où il sortait de leurs bouches. J'ai passé des nuits de beuvries à fumer, baiser sans remords. Aujourd'hui j'ai changé.. Je suis .. Enfin je suis en couple maintenant. Voilà, c'est dit.» murmurais-je d'une voix atone, sans émotions. Sauf sur la dernière phrase. Parler de Kelsey-Lou me faisait toujours un bien fou. J'étais plus calme lorsqu'elle était à mes côtés. Je regrettais d'ailleurs qu'elle ne soit pas là, avec moi, afin de me remettre dans le droit chemin. Je pleurais comme une madeleine et j'avais horreur de ça. J'avais horreur de montrer mes faiblesses. J'avais horreur de repenser à tous ça. Je voulais juste oublier. Je voulais juste m'endormir au moins une nuit sans voir le regard de ma mère morte derrière mes paupières closes. Je voulais juste passer une nuit sans cauchemards, sans me réveiller en hurlant, trempé de sueur et des traces de larmes sur les joues. Je voulais arrêter de crier, de m'énerver pour un rien et par dessus tout je voulais arrêter de débourser 40 putain d'euros pour ce psy de merde toute les semaines. Je voulais juste être un gars normal. Un étudiant normal. Est-ce que c'était trop demandé ? « En quoi je me lamente sur mon sort Raphaël hein dis moi ?! Tu crois vraiment que ma vie à été semblable au feux de l'amour, non mais sérieusement. J'ai vécu pendant un an sous un pont à batailler des morceaux de pains pourris avec les clodos, je me suis prostituée pendant trois ans tout simplement par ce que mes parents m'avaient coupés les vivres. Je ne me vente pas de ma vie certes, mais je ne m'en plains pas non plus par ce que je t'ai trouvé, j'ai vécu tout ça pour toi tu comprends un peu ce que ça représente. C'est la seule chose que j'ai toujours voulu et maintenant que je te trouves, tu me juge, tu me traite comme une malpropre par ce que tu trouves mon collègue dans mon lit. T'as peut être eut une vie pathétique, mais n'essaye même pas de dire que j'ai vécue un conte de fée par ce que là je vais te raconter ce que j'ai vécu et tu vas regretter d'avoir dis ça. Toi non plus tu ne sais rien. » Et là, d'un coup, je me sentis mal. Mais mal au point d'en dégueuler les cafetières de cafés que je m'étais enfilé ce matin. Je l'avais jugé. Je ne le faisait jamais. Je veux dire... les gens font ce qu'ils veulent. Pourquoi est-ce que j'aurais mon mot à dire ? Mon seul problème, c'est que je me préoccupe un peu trop de la vie des gens que j'aiment. Je veux qu'ils soient heureux, qu'ils aillent bien. C'est tout ce que je veux. Je ne me sentais pas capable de rester sans réagir pour Sarah. Mais je ne pouvais pas la juger pour ses actes. Après tout, je n'étais pas un saint non plus. Cela me rendait juste malade de la voir se détruire de la sorte. Je sentis ma respiration ralentir, je me calmais légèrement. La rage n'était plus là. Il ne restait qu'une colère sournoise qui regardait aussi de mon épaule, prête à surgir aux moindres signes de ma part. Je tentais de la ravaler, gardant à l'esprit que Sarah me manquait et que je ne voulais pas la perdre encore une fois. « Hum.. Je.. Sarah je.. Enfin je suis désolée tu sais ? Je n'aurais jamais dut dire ça. Je n'aurais pas dut balancer tout ça sans savoir. Cela ne me ressemble pas.. Je ne sais rien tu as raison. Je ne sais rien et je ne peux pas dire des choses pareilles. Je suis désolé. Vraiment. Je.. Putain, j'suis vraiment pas doué pour faire des excuces... » murmurais-je en secouant la tête, dépité. J'avais juste envie de me foutre une balle. J'étais un parfait crétin. Qu'est-ce qui m'avait prit de dire ça ? J'ai toujours sut que la relation qu'elle entretenait ou plutôt la non relation qu'elle entretenait avec ses parents la faisait souffrir. C'était le genre de parents toujours absent, laissant leur fille à une parfaite inconnue sans prévenir en lui donnant assez d'argent pour lui changer ses couches et pour lui donner une éducation digne de ce nom. Pas ce que j'appelerais des parents au finale. «Pourquoi tu me mens, personne ne m'a jamais parlé de ta visite au domaine, jamais. J'étais partie te chercher. Je ne me suis jamais sentie aussi seule tu comprends...Mais tu sais quoi ? Penses ce que tu veux mais à croire que les omelettes jambon gruyère on la côte car je n'ai jamais passé une nuit seule depuis des mois. Alors vas y juges moi, fais toi plaisir, je m'en fiche totalement. J'ai peut être tout pour être heureuse financièrement, mais tu connais le dicton l'argent ne fait pas le bonheur. J'ai personne, j'ai aucune attache, j'ai du fric, j'ai des grandes maisons partout, mais tout ça c'est quoi à côtés de la solitude. T'as toujours été doué pour te coller aux autres, pas moi. » Je relevais la tête vers elle même si je ne pouvais pas voir son visage. Elle souffre plus qu'elle ne le laisse paraître. C'est pour ça qu'elle se noie dans l'alcool, dans la drogue, dans le sexe. Elle ne sait pas comment réagir. Alors elle se fait mal. Elle se fait mal pour oublier ce qui la fait déjà tant souffrir. Une sadomaso. Mais j'en était un aussi après tout. «Tu sais très bien que je ne sais pas mentir. Je n'ai jamais sut te cacher quoi que ce soit. Je suis venue chez toi, t'es parents n'étaient pas là. Il n'y avait que ta gouvernante. J'ai essayé de savoir par tous les moyens où tu avais bien put aller. J'ai interrogé la quasi totalité des gens de la ville. Personne n'a sut me répondre. Ils me disaient tous que tu avais disparue d'un coup sans prévenir et qu'ils ne t'avaient jamais revue. J'ai essayé de rester là-bas tu sais ? En ville. Je me disais que tu pouvais revenir d'un moment à l'autre. Mais je ne pouvais pas. C'était pire. Je.. Je devenais fou. Je la voyais partout. Je le voyais partout. Alors je suis parti un matin sans dire aurevoir à personne. A qui aurais-je put le faire de toute façon ?» murmurais-je amer en serrant les poings. Je n'avais plus de famille depuis longtemps. Aujourd'hui, je l'avais construit. Avec Kelsey-Lou, avec Charlie. Elles étaient ma famille. Sarah en faisait partie. Elle en a toujours fait partie. «Je veux juste que tu sois toi, comme tu l'étais avant, c'était pourtant pas si compliqué AVANT ! » Je relevais la tête en triturant nerveusement les coutures de mon jean. Je plissais les lèvres et fronçais les sourcils. « Le petit garçon que tu as connu il y a 20 ans a cessé d'exister depuis longtemps. Il n'est plus là, je ne suis même pas certain de mon souvenir. Tout à changé. Aujourd'hui j'étudie la littérature et la peinture à l'université, je suis en couple avec une fille géniale depuis plusieurs mois, j'habite avec une gamine de 18 ans qui se prostitue dans un bar de danseuses et je déteste ça. Elle n'avait personne elle aussi, alors aujourd'hui, elle m'a au moins moi. Je suis comme... un père de substitution. Je travaille au lobby presque tous les soirs pour payer mon loyer, mes études et pour nourrir Charlie et Kelsey lorsqu'elle vient à la maison. Je suis.. un gars responsable. Un gars bien sous tout rapport il parait. Personne ne sait que je suis le fils d'une pourriture et d'une morte. Aujourd'hui je suis un homme. Je suis différent. Je n'ai plus 5 ans. Tout à changé. »

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